"L'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
de Maria Valtorta

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Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
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 Que celui qui voit une action, ne la juge jamais sur les apparences. N'accusez jamais, car les actions humaines peuvent avoir parfois un aspect déplaisant et cacher des motifs louables 2.57

 Si je disais la première syllabe d'un mot d'accusation, vous vous jetteriez tous comme des fauves sur l'accusé !... Moi, j'évite que vous vous souilliez du péché de jugement en agissant ainsi. 5.55

 C'est une parole oiseuse quand on parle des manquements d'autrui à quelqu'un qui n'y peut rien. Alors c'est simplement un manque de charité, même si les choses dites sont vraies. Mais quand on voit son prochain pécher et quand on se rend compte que par soi-même on n'est pas capable d'apprécier la portée du péché d'autrui, et qu'on ne se sent pas assez sage pour dire une parole qui puisse convertir, et qu'alors on s'adresse à un juste, à un sage, et qu'on lui confie son ennui, alors on ne fait pas de péché parce que les confidences ont pour but de mettre fin à un scandale et de sauver une âme. 8.16


Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta
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Cahiers de 1943                                                                                                            Voir le sommaire des "Cahiers" =>

 Catéchèse du 11 juillet : L'âme aimante, sûre d’être aimante, est dans la paix. Le prochain pourra bien l’accuser des pires méchancetés, les circonstances pourront avoir l’apparence d’une punition céleste : l’âme ne sortira pas de sa paix. Parce qu’elle sait qu’elle aime, elle ne craint rien. (p. 150)

 Catéchèse du 4 novembre : Non, vous ne pouvez m’accuser de rien. Ce n’est pas moi qui vous détruis. C’est vous qui avez fermé les portes à l’Amour, lequel vous veillait comme un père penché sur le berceau de ses enfants, et avez ouvert les portes à Satan. (p. 439)


Dans les textes fondamentaux chrétiens

Dans la Bible
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Voilà comment le Seigneur paiera mes accusateurs et ceux qui disent du mal de moi ! Et toi, Dieu, Seigneur, agis en ma faveur pour l’honneur de ton nom. Ta loyauté est bienfaisante, délivre-moi. (Psaumes (108)109,20)

Dans le catéchisme de l'Église catholique
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Fiche mise à jour le 08/02/2010