L'œuvre de Maria Valtorta
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Jean, fils de Zébédée.

apôtre et évangéliste, surnommé fils du tonnerre (Boanerguès).

Illustration ci-dessus : dessin de Lorenzo Ferri réalisé sous les indications de Maria Valtorta.

 

 Présentation générale
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Jean est le premier disciple de Jésus[1].            

Il a 20 ans environ au moment de sa rencontre avec lui au bord du Jourdain. Il assiste à son Baptême en compagnie de son frère
Jacques le majeur et d’André. Au retour de Jésus du désert, où il a passé quarante jours, il l'interpelle : "Maître, où demeures-tu ?" et le suit (EMV 47  - Cf. Jean 1, 35-39).         

Galiléen de
Bethsaïda, au bord du lac de Tibériade, Jean est le fils de Zébédée, patron-pêcheur, et de Marie Salomé. Sa famille est nombreuse : il a plusieurs frères et sœurs. Une partie de sa parenté habite à Jérusalem (EMV 25). Zébédée, le père de Jean, exporte le poisson séché du lac (EMV 577). À ce titre sa famille entretient des relations d’affaires avec Caïphe* et Anne*, les grands prêtres : Jean les connaît en personne, ce que rapporte l’Évangile[2].

Le
Baptiste, dont il est disciple et porte le même nom, dit de lui : "Je suis le premier et lui le dernier. Puis ce sera lui le premier et moi le dernier". Les autres disciples du Baptiste avouent ne pas comprendre la prédiction (EMV 81). Plus tard, Nathanaël (Barthélemy) explicite les dons du jeune apôtre : "Tu fais, par instinct spirituel, ce que j'accomplis péniblement par réflexion mentale. Mais tu arriveras plus vite au terme, car tu sais plutôt aimer que penser. C'est l'amour qui te transporte et te transforme" (EMV 500).        

Dans une dictée à Maria Valtorta, Jésus fait de Jean son confident pour les faits les plus graves de sa vie (
EMV 464). "Par la pureté de sa vie, Jean possède la paix en lui. Je l'ai aimé à cause de cette pureté. C'est à elle que j'ai confié mes enseignements, mes secrets. Jean est l'être qui m'était la plus cher" (EMV 47 – Cf. Jean 13, 23).   

Sa jeunesse accentue sa pureté, sa douceur et sa franchise. "C'est un ange" dit de lui la Vierge Marie (
EMV 101). Physiquement il a "le visage rose et imberbe d'un homme à peine formé", ses yeux sont bleu foncé et ses cheveux blonds châtain. Il les porte longs à la mode galiléenne (EMV 49). Jésus le dépassant "de la tête et du cou", il devait mesurer 1,55 m ou un peu moins (EMV 590). Maria Valtorta note "son sourire d'enfant doux et franc, son œil limpide et rieur, sa voix joyeuse" (EMV 553).      

Après son élection comme apôtre, c'est l'un des tous premiers à faire une prédication à la demande de Jésus (
EMV 166). Il y développe le thème de l’Amour révélé en Jésus. C'est aussi le premier disciple à faire un miracle au nom de Jésus par l'onction et la prière (EMV 259). "Le premier de mes apôtres, ce fut Jean, dit Jésus à Maria Valtorta. Le premier à me reconnaître. Le premier à m'adresser la parole, le premier à me suivre, le premier à m'annoncer" (EMV 49). 

Sa vocation, c'est l'amour : "Je dirai au Père de faire de moi quelqu'un qui sait seulement aimer, confie-t-il à Jésus. Je ne veux plus que cela". Il offre tout le reste pour la conversion de
Judas (EMV 356).          

Avec
Pierre et son frère Jacques, Jean assiste à la résurrection de Myriam, la fille de Jaïre (EMV 230), à la Transfiguration (EMV 349) et à l'agonie du Gethsémani (EMV 602). Avec Pierre, il pénètre dans la cour du Grand Prêtre lors du procès de Jésus (EMV 603), mais il le seul apôtre à le suivre jusqu'au pied de la Croix (EMV 609). Il y a conduit la Vierge Marie qu’il a accompagnée au long de la Via Dolorosa (EMV 607). Avec Pierre, il court au tombeau vide "et il crut"[3].    

Jean est aussi un impétueux. En voulant régler leur compte à Judas et à tous les opposants de Jésus, lui et son frère gagnent le surnom de "Fils du tonnerre" (Boanerguès) (
EMV 330 – Cf. Marc 3, 17). Il prouve de nouveau son impétuosité lorsque, chassé d'un village samaritain, il propose avec son frère de faire descendre le feu du ciel sur le village rebelle (EMV 575 – Cf. Luc 9, 51-56). Lors de la Passion, de retour du tombeau, il croise Elchias le synhédriste, qui profère des injures à l'encontre de Marie. Jean lui saute à la gorge, et le terrasse : "Demande-lui pardon ou bien je t'étrangle, démon !" (EMV 611).

Dans un entretien testamentaire, Jésus lui confère la mission de Le continuer par l'Évangile : "L'amour pour ton Jésus se fera parole. Beaucoup, même parmi ceux qui ne seront pas de mon Église, qui ne seront d'aucune église, mais qui chercheront une lumière et un réconfort, viendront à toi et me trouveront" (
EMV 508).          

C'est à lui que Jésus mourant confie la Vierge Marie (
EMV 609). Il se retire avec elle dans la maison de Gethsémani. Il est l'assesseur de Pierre dans la première communauté chrétienne[4].        

Il assiste à la "dormition" de Marie (sa mort) (
EMV 649) suivie de son "Assomption" (EMV 650).        

Jean est le témoin privilégié des grands évènements de la vie publique de Jésus et de certains épisodes qu'il est seul à rapporter dans son Évangile, comme par exemple la tentative de faire élire Jésus roi (
EMV 464).     

Jean est "mort centenaire après avoir connus les mystères de Dieu les plus élevés"
[5].

 Son nom.        
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ןיוחנ (Jean – Yohanân). Yohanân, Yoanan, Joanan, Johanna, Joanam, Iôanan) du grec. Iôannês venant de l’hébreu. yoHanan, "l’Éternel a fait grâce, a été favorable".

Il s’agit donc d’un nom théophore (composé avec le
Nom divin) : Yo et Anan qui signifie grâce. Anan est à l’origine du prénom Anne. Yohanan est l’inverse de Hanania (Ananie) qui a la même signification.        

Didier Fontaine remarquait que les noms théophores comportant le Nom divin en tête, se prononçait Yo (Yého) et Ya en finale. Cela nous semble conforter l’affirmation défendue par Maria Valtorta : le Tétragramme YHWH se prononçait Jéhovah à l’origine, et non Yahvé comme le veut une tradition récente et généralisée.



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 Où en parle-t-on dans l'œuvre ? (édition de 1985)          
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 Tome 2 : La préparation à la Vie Publique : 2.3 - Appel des premiers apôtres : 2.7 - 2.8 - 2.10 - 2.11 - 2.12 - 2.13 - 2.14 - 2.16 - 2.17 - 2.18 - Début de l'apostolat en Galilée : 2.20 - 2.21 - 2.24 - 2.25 - 2.27 - 2.28 - Voyage apostolique en Judée : 2.33 - 2.34 - 2.35 - 2.36 - 2.37 - 2.38 - 2.39 - 2.40 - 2.41 - 2.42 - 2.43 - 2.44 - 2.45 - 2.46 - 2.47 - 2.50 - 2.51 - Choix des derniers apôtres : 2.52 - 2.53 - 2.54 - 2.55 - 2.56 - 2.57 - 2.58 - 2.59 - 2.60 - 2.61 - 2.62 - Les derniers bergers : 2.63 - 2.64 - 2.65 - 2.66 - 2.68 - 2.69 - 2.70 - 2.71 - 2.75 - 2.76 - En Judée avant la vie commune : 2.77 - 2.78 - 2.79 - 2.80 - 2.81 - 2.82 - 2.83 - 2.84 - 2.85 - Enseignements sur les Dix Commandements : 2.86 - 2.87 - 2.88 - 2.89 - 2.90 - 2.91 - 2.92 - 2.93 - 2.94 - 2.95 - 2.96 - 2.97 - 2.98 - 2.99 - Les fêtes de fin d'année : 2.100 - 2.101 - 2.102 - 2.103 - 2.104 - 2.105 - 2.106 - 2.107.         
 Tome 3 : 3.1 - 3.2 - La samaritaine : 3.3 - 3.4 - 3.5 - 3.6 - 3.7 - 3.9 - L'apostolat féminin : 3.12 - 3.13 - 3.14 - 3.16 - 3.17 - 3.18 - En Galilée, le choix des apôtres : 3.19 - 3.20 - 3.21 - 3.22 - 3.24 - 3.25 - 3.26 - Le Sermon sur la Montagne : 3.29 - 3.30 - 3.31 - 3.32 - 3.33 - 3.34 - 3.36 - Apostolat en Galilée : 3.40 - 3.41 - 3.42 - 3.43 - 3.44 - 3.45 - 3.46 - 3.47 - Le second voyage pascal : 3.48 - 3.49 - 3.50 - 3.51 - 3.52 - 3.53 - 3.54 - 3.55 - 3.56 - 3.57 - 3.58 - 3.59 - 3.60 - 3.61 - 3.62 - 3.63 - 3.64 - Apostolat en Judée : 3.65 - 3.66 - 3.67 - 3.68 - 3.69 - 3.70 - 3.72 - 3.73 - 3.74 - 3.75 - 3.76 - 3.77 - Apostolat en Philistie : 3.78 - 3.79 - 3.80 - 3.81 - 3.82 - 3.83 - 3.84 - 3.85 - 3.86.
 Tome 4 : 4.87 - La conversion de Marie-Madeleine : 4.89 - 4.91 - 4.92 - 4.93 - 4.94 - 4.96 - 4.97 - 4.100 - 4.102 - 4.103 - 4.104 - 4.105 - 4.106 - 4.107 - 4.110 - 4.111 - 4.112 - 4.113 - 4.114 - 4.115 - 4.116 - 4.117 - 4.118 - Envoi des apôtres et disciples en mission : 4.119 - 4.120 - 4.121 - 4.122 - 4.123 - 4.124 - 4.125 - 4.128 - 4.131 - 4.132 - 4.133 - 4.134 - 4.135 - 4.136 - 4.137 - 4.138 - 4.139 - 4.140 - 4.141 - 4.142 - 4.144 - Pérée, Galaad et Trachonitide : 4.145 - 4.148 - 4.149 - 4.150 - 4.151 - 4.152 - 4.153 - 4.154 - 4.155 - 4.156 - 4.157 - 4.158 - 4.159 - 4.160 - 4.161 - 4.162 - 4.165 - 4.166 - 4.167 - 4.168 - Les fêtes de fin d'année à Nazareth : 4.169 - 4.178.      
 Tome 5 : Le voyage des disciples à Antioche : 5.1 - 5.2 - 5.3 - 5.4 - 5.6 - 5.7 - 5.8 - 5.9 - 5.10 - 5.11 - 5.12 - 5.13 - 5.14 - Phénicie et Haute-Galilée : 5.15 - 5.16 - 5.17 - 5.18 - 5.19 - 5.20 - 5.21 - 5.22 - 5.23 - 5.24 - 5.26 - 5.27 - 5.28 - 5.29 - 5.30 - 5.31 - 5.32 - 5.33 - 5.34 - 5.35 - La Transfiguration et le Pain du Ciel : 5.36 - 5.37 - 5.38 - 5.39 - 5.40 - 5.42 - 5.44 - 5.45 - 5.46 - 5.47 - 5.48 - 5.49 - 5.50 - 5.51 - 5.52 - 5.53 - L'avant-dernière Pâque : 5.54 - 5.55 - 5.56 - 5.57 - 5.58 - 5.59 - 5.60 - 5.61 - 5.62 - 5.64 - 5.65 - 5.66 - 5.67 - 5.68 - En Judée : 5.69 - 5.70 - 5.71 - 5.72 - 5.73 - 5.74.           
 Tome 6 : Adieux en Judée : 6.76 - 6.77 - 6.78 - 6.79 - 6.80 - 6.81 - 6.82 - 6.83 - 6.84 - 6.86 - 6.87 - 6.88 - 6.91 - 6.92 - Plaine de Saron : 6.93 - 6.94 - 6.95 - 6.96 - 6.97 - 6.99 - 6.100 - 6.101 - Pentecôte, Décapole et Plaine d'Esdrelon : 6.102 - 6.103 - 6.104 - 6.105 - 6.106 - 6.109 - 6.110 - 6.111 - 6.112 - 6.113 - 6.114 - 6.115 - 6.1166.1176.118 - 6.119 - 6.120 - 6.121 - 6.123 - 6.124 - L'été à Nazareth : 6.127 - 6.128 - 6.132 - 6.133 - 6.135 - 6.136 - 6.137 - 6.138 - 6.139 - 6.140 - 6.141 - 6.142 - 6.143 - 6.144 - 6.145 - 6.146 - 6.147 - 6.148 - 6.149 - 6.150 - 6.151 - 6.152 - 6.153 - 6.154 - 6.155.   
 Tome 7 : 7.156 - 7.157  7.158 - En Syro-Phénicie : 7.159 - 7.160 - 7.163 - 7.164 - 7.165 - 7.166 - 7.167 - 7.169 - 7.170 - 7.1717.1727.1737.174 - 7.175 - 7.176 - La fête des Tabernacles : 7.183 - 7.184 - 7.189 - 7.190 - En Moab et en Judée : 7.192 - 7.193 - 7.194 - 7.195 - 7.196 - 7.199 - 7.201 - 7.205 - 7.208 - 7.211 - 7.212 - 7.214  - 7.217 - 7.221 - 7.222 - La fête de la Dédicace : 7.224 - 7.225 - 7.226 - 7.229 - 7.232 - 7.235 - 7.236 - 7.237.  
 Tome 8 : La résurrection de Lazare : 8.7 - 8.11 - L'exil en Samarie : 8.12 - 8.13 - 8.14 - 8.15 - 8.18 - 8.20 - 8.21 - 8.26 - 8.27 - 8.28 - 8.29 - 8.32 - 8.35 - 8.36 - Le retour vers Jérusalem : 8.37 - 8.38 - 8.43 - 8.45 - 8.47. 
 Tome 9 : 9.1 - 9.2 - 9.6 - La Semaine Sainte : 9.8 - 9.9 - 9.12 - 9.13 - 9.14 - 9.15 - 9.16 - 9.17 - 9.18 - La Passion : 9.19 - 9.21 - 9.22 - 9.23 - 9.24 - 9.27 - 9.28 - 9.29 - 9.31.         
 Tome 10 : Le dimanche de la Résurrection : 10.1 - 10.2 - 10.5 - 10.11 - 10.12 - de la Résurrection à l'Ascension : 10.14 - 10.15 - 10.16 - 10.17 - 10.18/14 - 10.19 - 10.21 - 10.22 - 10.23 - Les temps apostoliques : 10.24 - 10.25 - 10.26 - 10.27 - 10.28 - 10.29 - 10.32 - 10.33 - 10.34 - 10.35 - 10.36 - 10.37.


Dictionnaire des personnages de l’Évangile, d’après Maria Valtorta.


 En savoir plus sur ce personnage.      
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Extraits du Dictionnaire des personnages de l’Évangile, selon Maria Valtorta.

Jean est fêté le 27 décembre. Il est surnommé «l'Aigle de Patmos».        

Dernier survivant des apôtres, il fut arrêté à Ephèse en 95 et conduit enchaîné à Rome, sur ordre de l'empereur Domitien. Condamné à être plongé dans un chaudron d'huile (ou d'eau) bouillante, il en réchappe miraculeusement. Il est exilé à Patmos
[6].  

D'après Irénée de Lyon, il y écrivit l'Apocalypse, puis retourna à Ephèse où il mourut, fort âgé, sous l'empereur Trajan (vers 101-104). Selon l'Abbé Migne, il avait 94 ans. Il serait donc né vers l'an 7 et aurait bien 20 ans au début de la vie publique de Jésus
[7].         

Jean l'évangéliste est l'auteur du 4ème évangile et d'une lettre. La paternité de l'Apocalypse et des deux autres lettres lui ont été contestée par certains exégètes au profit de Jean le Presbytre. Benoît XVI dans son livre Jésus de Nazareth évoque ce débat sans le réfuter catégoriquement. La majorité des exégètes lui attribue cependant la totalité des œuvres, mais tout un groupe le considère comme l'inspirateur ou le premier rédacteur de l'Apocalypse.       

Les circonstances de sa mort font aussi débat : Saint Hyppolite, théologien du IIIème siècle, pensait qu'il avait été enlevé tel Enoch et Élie
[8]. Il se basait sur ce verset : "Le bruit se répandit alors chez les frères que ce disciple (Jean) ne mourrait pas[9]".    

Irénée de Lyon (IIème siècle), le pense mort de mort naturelle. Le Ménologe grec avance la date de cette mort aux calendes d'octobre
[10].         

D'autres, comme saint Grégoire de Nysse (IVème siècle) et saint Jean Chrysostome (Idem), le pensent martyr. Ils se fondent notamment sur la promesse faite aux deux fils de Zébédée qu'ils boiraient à la coupe que Jésus allait lui-même boire
[11]. Dans l'œuvre de Maria Valtorta, Jésus insiste sur la traduction de cette phrase (EMV 577). Presque toutes les bibles françaises (Osty, TOB, Segond, Martin...) indiquent "boire la coupe". Mais de nombreux auteurs commentent effectivement le texte en écrivant "à la coupe". Maria Valtorta opte pour cette dernière hypothèse : Jésus prédit que tous les apôtres subiront le martyre, sauf un seul : c'est Judas qui se pendra (EMV 347). Jean peut donc avoir subi le martyre sans en mourir directement.       

Eusèbe de Césarée signale qu'il y avait deux tombeaux honorés à
Éphèse : celui de Jean l'apôtre et celui de Jean le Presbytre[12]. La Basilique Saint-Jean d'Éphèse abrite encore aujourd'hui le tombeau de «Jean le théologien» (l'évangéliste).

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Fiche mise à jour le 13/04/2024.

 



[1] La tradition attribue à André l’honneur d’être le premier apôtre à l’avoir suivi. Elle le surnomme Protoclet. Elle se base justement sur l’Évangile de Jean 1, 40. Mais en EMV 464.17-18, Jésus explique comment l’humilité de Jean l’a conduit à s’effacer dans ce rôle insigne.       

[2] Cf. Jean 18, 15 : "Or Simon-Pierre, ainsi qu’un autre disciple, suivait Jésus. Comme ce disciple était connu du grand prêtre, il entra avec Jésus dans le palais du grand prêtre".       

[3] Cf. Jean 20,8.      

[4] Cf. Actes 3,1 et suivants; Galates 2, 9. 

[5] Cahiers de 1944, 14 juin, page 364.      

[6] Tertullien, Traité contre les hérétiques, 36 – Jérôme de Stridon, Matthieu, XX, a3; Contre Jovinien, I, 26 – Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, VI, 5.       

[7] Abbé Migne, Dictionnaire Hagiographique, 1850.        

[8] Saint Hyppolitte De consummatione mundi.      

[9] Cf. Jean 21, 23.  

[10] Léon Morery Grand dictionnaire historique,1692, volume 3, page 208.         

[11] Cf. Matthieu 20, 22-23; Marc 10, 39.  

[12] Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, § 39, 4-6.