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L'œuvre de Maria Valtorta
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cette fiche :
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L’unité des chrétiens (œcuménisme).
Voir aussi : Dialogue
inter-religieux.
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Qu’est-ce que l’unité des
chrétiens ?
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Père saint, garde-les unis dans ton
nom, le nom que tu m’as donné, pour qu’ils soient un, comme nous-mêmes.
Quand j’étais avec eux, je les gardais unis dans ton nom, le nom que tu m’as
donné. J’ai veillé sur eux, et aucun ne s’est perdu, sauf celui qui s’en va à
sa perte de sorte que l’Écriture soit accomplie.
Et maintenant que je viens à toi, je parle ainsi, dans le monde, pour qu’ils
aient en eux ma joie, et qu’ils en soient comblés.
Jean 17, 11-13.
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De la diversité à la division.
Haut de page.
Le christianisme, tous cultes confondus, est la religion d’un
habitant sur trois de notre planète. Il est la première religion avec 2,4
milliards de fidèles en 2015 et s’accroît un peu plus vite que la population
mondiale.
Mais ces chiffres masquent de grandes fragmentations car catholiques,
protestants, orthodoxes, anglicans, évangélistes, … divisés par l’histoire,
souvent en concurrence, présentent des visages divers et sont eux-mêmes
fragmentés en de multiples Églises, se distinguant par l’organisation, les
usages, ou le corpus de la Foi.
Continents et pays offrent les mêmes aspects contrastés : en Europe, le
christianisme recule alors qu’ailleurs il progresse.
En Asie, la proportion de chrétiens, tous cultes confondus, est passée de 4,5
% en 1910 à 13,1 % en 2010. Il y jouit d’une image de modernité.
En Afrique, le nombre de chrétiens a été multiplié par plus de 60, passant de
8 millions en 1910 à 516 millions en 2010.
La fragmentation des croyants n’est certes pas propre au seul christianisme,
mais la division y est cause d’incompréhension et de scandale quand elle
engendre la rivalité, voire plus, car les structures élèvent souvent des murs
artificiels supposés défendre "leur spécificité".
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Lettre Placuit Deo sur
certains aspects du salut chrétien.
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De la division à l’unique
diversité.
Haut de page.
L’unité des
chrétiens, n’est en rien l’uniformité. Elle a
pour but de substituer des passerelles là où on construisait des murs. Cette
unité est souvent appelée œcuménisme
quand ce mouvement concerne les structures confessionnelles.
Elle est distincte du dialogue
inter-religieux qui lui est similaire sur de nombreux points, mais
concerne les passerelles jetées en direction des croyants non-chrétiens.
L’une et l’autre construisent "l’escabeau de Dieu" dans lequel les
marches, indispensables pour bâtir l’ensemble, sont de même nature (la
recherche de Dieu), mais non pas de même niveau (la plénitude de la
Révélation).
L’unité des chrétiens trouve sa source dans la prière sacerdotale du Christ
au soir de la dernière Cène :
Je
ne prie pas seulement pour ceux qui sont là, mais encore pour ceux qui, grâce
à leur parole, croiront en moi. Que
tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et moi en toi. Qu’ils soient
un en nous, eux aussi, pour que le monde croie que tu m’as envoyé. Et moi, je
leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, pour qu’ils soient un comme nous
sommes UN : moi en eux, et toi en moi. Qu’ils
deviennent ainsi parfaitement un, afin que le monde sache que tu m’as envoyé,
et que tu les as aimés comme tu m’as aimé (Jean 17,20-23).
Cette
prière voulue par le Christ au moment de sa Passion, fut actualisée et devint
un mouvement vivant par l’initiative de Paul Wattson
en 1908. Il crée l’Octave pour l'unité
de l'Église, qui eut lieu, pour la première fois, du 18 au 25 janvier
1908. Ce prêtre épiscopalien avait créé en 1898, une communauté religieuse
franciscaine, les franciscains de l'Atonement (expiation) au sein de l’Église anglicane
américaine. Pour lui, il s’agissait bien de l’unité autour du Siège de Rome.
Cet œcuménisme né chez les anglicans fut accepté par l’Église grâce à
l’initiative d’œcuménistes catholiques, tel l’Abbé Paul Couturier
(1881-1953), qui fondèrent la semaine
de l’unité en janvier 1939. Elle s’étend du 18 janvier, fête de la chaire
de saint Pierre, jusqu’au 25 janvier, fête de la conversion de saint Paul.
Son but est de prier pour l’unité « telle que le Christ la veut, par les
moyens qu’Il voudra ».
L’élimination liturgique ultérieure de la fête de la chaire de saint Pierre à
Antioche (fête qui répondait bien à une réalité historique) a cassé le cadre
symbolique dans lequel l’Abbé
Paul Couturier avait donné un sens liturgique et
profondément réconciliateur, à la Semaine
de l’unité.
Il fonde de même, en 1942, le groupe des
Dombes avec des théologiens protestants suisses. C’est à cette même
période, en 1940, que Roger Schutz, un pasteur protestant connu comme Frère
Roger, fonde la communauté œcuménique de Taizé. Il y mourra assassiné le 16
août 2005.
Il faut attendre le concile Vatican II pour que l’œcuménisme entre
officiellement, et non sans peine, dans l’Église catholique.
Le Concile promulgua des documents majeurs sur l’œcuménisme (Unitatis
Redintegratio) le 21 novembre 1964 et sur le dialogue
inter-religieux (Nostra
Ætate) le 28 octobre 1965, mais plus de cinquante ans après, force
est de constater que l’unité est encore à venir.
Cette unité, que promet l’œcuménisme, est pourtant bien une
marque de notre temps. Elle prépare la restauration ultime du christianisme
vers l’avènement du Christ « comme il voudra, quand il voudra » à
travers les difficultés que nous tentons de surmonter, notamment la
refondation de la fête centrale de Pâques à une date unique pour tous les
chrétiens.
C’est la demande insistante transmise par Jésus à Vassula
Rydén, une mystique grecque-orthodoxe, née en 1942.
Au-delà des réticences, elle suscite un vaste mouvement œcuménique.
C’est aussi la demande que transmet, dans les années 90 également, la Vierge
Marie à Myrna Al-Akhras,
une syrienne gréco-catholique de Soufanieh. Le 24
mars 1983, elle lui dit notamment :
L’Église est le royaume
des Cieux sur terre. Qui l’a divisée, pèche et qui s’est réjoui de sa
division, a péché. Qui l’a divisé, n’a plus d’amour en lui. Rassemblez. Je
vous dis "priez, priez, priez". Vous, vous apprendrez aux
générations les mots d’unité, d’amour et de foi. Priez pour les habitants de
la Terre et du Ciel.
Le 15
octobre 1999, Mgr Accoli a inauguré à Rome, via Aurelia, le Centre Notre-Dame de Soufanieh
pour l’unité des chrétiens et le dialogue interreligieux.
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L’unité des chrétiens dans
l’œuvre de Maria Valtorta.
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Cette
cause est présente de trois façons majeures dans les écrits de Maria
Valtorta :
1 – par les catéchèses divines. Elles sont consignées dans les différents
extraits que nous rapportons ci-après.
2 – par l’offrande qu’elle fit d’elle-même pour cette cause, à l’imitation de
la bienheureuse Maria
Gabriella Sagheddu (1914-1939), dont elle découvrit la vie en
1942.
3 – Par la demande que lui fit Jésus de lier la Semaine de l’unité, à la
semaine de la Divine Miséricorde dans l’octave de Pâques.
Son offrande pour la cause de l’unité.
La vie de la bienheureuse Maria Gabriella de l’Unité (1914-1939), qui inspira
Maria Valtorta, eut la fulgurance de celle de Thérèse de Lisieux ou de Gemma
Galgani : elle s’éteignit à 25 ans après trois ans de vie religieuse.
Elle naquit au début de la première guerre mondiale et mourut au début de la
seconde.
Maria Sagheddu naît en Sardaigne. Son caractère est bien trempé, parfois
rebelle. Elle craint que cela l’empêche d’entrer chez les trappistines de
Grottaferrata dans le
Latium, mais elle est finalement reçue sous le nom de Maria-Gabriella de
l’Unité.
Son abbesse, mère Maria Pia Gullini, très sensible au mouvement
œcuménique avait su communiquer à la communauté cette cause. Sur invitation
de l’Abbé Paul couturier, elle présenta un jour une demande de prière et
d'offrande pour la grande cause de l'unité des chrétiens. Sœur Maria
Gabriella se sentit fortement concernée que cet appel et poussée à offrir sa
jeune vie pour cette cause. Elle se sentait appelée "même quand je veux
ne pas y penser". Elle avait confiée à la Mère supérieure sa grande
dévotion pour le Fiat de Marie à l’Annonciation : Voici la servante du
Seigneur.
Le cheminement de ce caractère trempé, fut rapide et sans hésitation. Ne
connaissant qu'un seul désir: "La volonté de Dieu, sa gloire", elle
se conforma à Jésus, qui "ayant aimé les siens qui étaient dans le
monde, les aima jusqu' au bout".
Le soir même de son offrande elle fut prise par une tuberculose fulgurante,
elle qui avait toujours été en bonne santé. Elle en mourut au terme de quinze
mois de souffrances.
Au soir du 23 avril 1939, Maria
Gabriella termina sa longue agonie, dans l'abandon total à la volonté de
Dieu. Les cloches sonnaient à toute volée, à la fin des vêpres du dimanche du
Bon Pasteur, ce dimanche où l'Évangile proclamait: "Il n'y aura qu'un
seul bercail et un seul pasteur (Jean 10, 16).
Sœur
Maria Gabriella a été béatifiée par Jean-Paul II le 25 janvier 1983, en
clôture de la semaine de l’Unité. Plus tard, dans son encyclique Ut unum sint,
du 25 mai 1995, il la propose comme modèle d’engagement par la prière jusqu’à
« l'offrande totale et sans réserve de la vie au Père, par le Fils, dans
l'Esprit Saint ».
La cause de l’Unité fut une véritable découverte pour Maria Valtorta qui
ignorait que l’on puisse prier pour cela « avant que Jésus ne la
guide » vers la religieuse de Grottaferrata. Elle décide alors de se
joindre à l’oblation :
Lorsque,
en 1942, j’appris ce que vivait sœur Maria-Gabriella, je n’ai eu qu’un seul
regret, qui dure encore: que Dieu me garde si longtemps à me consumer alors
que j’ai une telle hâte d’accomplir le sacrifice, pourvu que nos pauvres
frères séparés reviennent dans le Corps mystique[4].
Maria-Gabriella
et Maria Valtorta n’ont pu se rencontrer : la première n’était pas
encore religieuse lorsque la seconde devint grabataire. Mais la communion existe
pourtant : quand Maria Valtorta est en proie aux épreuves de la nuit de
la foi, elle trouve son réconfort dans le combat mené avant elle par
Maria-Gabriella.
Mes souffrances physiques,
morales et spirituelles s’accumulent …Tout me fait souffrir ... Je ne veux
rien, puisque je n’ai pas Dieu. Je relis sœur Maria-Gabriella : plus que
jamais je me sens semblable à elle dans la souffrance. … Et Dieu ne vient
pas. Je prie comme le Père me le dit. Mais Dieu ne vient pas. Il me rend
folle de douleur.
Néanmoins, même dans ces conditions, je renouvelle l’offrande de moi-même
pour les intentions habituelles: la paix, le règne de Jésus, etc., en mettant
pour seule réserve de me faire rentrer chez moi (à Viareggio). Sœur Gabriella
elle-même avait mis une réserve, or c’était un être angélique. Alors je peux
en mettre une moi aussi. Il ne faut pas demander l’impossible à une âme
humaine. Et ceux qui prêchent le don de soi total, sans réserve, sont
précisément ceux qui, d’eux-mêmes, ne supportent pas la moindre égratignure.[5]
Miséricorde divine et unité des Églises, dans
l’octave de Pâques.
Ultérieurement le Christ demande à Maria Valtorta de prier pour
que la semaine de l’Unité soit transférée dans la semaine de la Miséricorde,
en octave de Pâques.
Sœur Faustine Kowalska (sainte Faustine) meurt en
1938. Des extraits de son petit journal (Dzienniczek)
commencent à circuler. Sa neuvaine à la Miséricorde divine se
répand rapidement : Maria Valtorta y adhère à la demande de Jésus.
Le 16 avril 1954, Vendredi-Saint, Jésus demande à Maria Valtorta de lier
cette neuvaine de la Miséricorde à la prière pour l’unité des Églises :
En même temps que la
Neuvaine à la Miséricorde Divine, lui demande-t-il, fais encore une fois
celle pour l’unité des Églises que l’on fait du 18 au 25 janvier durant
l’octave de l’Unité. Refaites-la chaque année du Vendredi Saint au samedi
précédent le dimanche après Pâques. C’est mon souhait et celui de nombreux
autres habitants du Ciel ou de ministres de Dieu sur la terre.
Ce que
prescrit Jésus est donc de faire la Semaine
de l’unité comme Semaine de la Miséricorde dans l’octave centrale de
Pâques. Il poursuit :
Saches que pour moi et la
Très Sainte Trinité, pour ma sainte Mère, […] les prières pour l’Unité des
Églises et pour la conversion des pécheurs de toutes sortes sont les
bienvenues plus que toutes autres, parce qu’elles conduisent au Ciel, pour
l’éternité, un très grand nombre d’âmes, qui autrement, à cause de leur péché
contre la Sainte, Unique, Vraie, Église catholique apostolique et romaine et
contre ses commandements, seraient allées pour toujours en Enfer.
Cette
invitation de Jésus n’a pas eu, à notre connaissance, de concrétisation à ce
jour.
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Dans "l'Évangile tel qu'il
m'a été révélé".
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EMV 91 : Voici frères. Je veux que ce soit
là le nom que vous vous donniez l'un l'autre et que vous vous considériez
comme tels. Vous êtes comme une seule famille. Quand est-ce qu'une famille
est prospère et que le monde l'admire ? Quand on y trouve l'union et la
concorde. Si un fils devient l'ennemi de l'autre, si un frère nui à l'autre,
est-ce que la prospérité de cette famille ne peut jamais durer ? Non. C'est
en vain que le père de famille s'efforce de travailler, d'aplanir les
difficultés, et de s'imposer au monde. Ses efforts restent sans résultats,
car les ressources s'effritent, les difficultés augmentent, le monde se moque
de cet état de procès perpétuels qui émiettent les affections et les biens.
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Dans les autres ouvrages de
Maria Valtorta.
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Autobiographie.
Voir le sommaire.
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(pages
466-468) : Dieu s'est servi de tout ce que j'ai connu, vécu et souffert pour
me faire avancer dans ses voies […] Les autres religions ou théories ont
augmenté mon amour, ma foi, ma consécration à lui.
Si, même les autres religions ont permis d'augmenter en moi mon
identification à Dieu et mon amélioration spirituelle. J'ai toujours pensé,
depuis que j'ai eu connaissance des doctrines des autres religions, qu'il y
a, en toutes, un fragment de la vraie foi, un fragment de notre foi. On
dirait presque, pour donner une comparaison humaine, que de l'unique vraie
religion, qui a été donnée par Dieu à Moïse et confirmée ensuite par le Verbe
de Dieu, se sont détachés des fragments qui portent avec eux des miettes de
vrai. […] Et les débris sont tombés sur la terre où ils ont constitué les
graines des autres religions qui, malgré leurs erreurs, conservent encore un
fragment plus ou moins important de vérité.
En examinant les religions et leurs codes de morale, je remarque ce reflet de
la lumière divine qui brille malgré l'addition d'éléments erronés, et je me
sens de plus en plus encouragée à suivre avec fidélité les exigences de la
morale qui est la mienne.
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Cahiers de
1943
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Notes du
10 mai : Je suis contente d’avoir prié et
de prier ainsi pour l’unité des Églises. J’ignorais qu’on prie pour cela.
Jésus, mon maître unique, m’a guidée, comme d’habitude, même en cela. Tout
comme il m’a guidée vers sa servante, sœur Maria-Gabriella.
Catéchèse du 11 décembre : Ceux qui devront réunir les lignées autour de la Croix pour
préparer le rassemblement du Christ auront une main de père et de roi. Et
aucune lignée ne manquera à l’appel, avec ses meilleurs descendants. Alors je
viendrai et je mettrai mon pouvoir à sa défense contre toutes les embûches et
les ruses, les attentats et les crimes de Satan envers ma Jérusalem terrestre
— l’Église militante. Je répandrai mon esprit sur tous les rachetés de la
Terre.
Catéchèse du 29 décembre : Seul
Dieu, ô chrétiens, pouvait vous donner ce Nom en signe de salut pour toutes
les lignées de la terre.
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Cahiers
de 1944
Voir le sommaire.
|
À venir.
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Cahiers
de 1945 à 1950
Voir le sommaire.
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16 juillet
1945 : Voici quinze jours, peut-être
davantage, que la chère Voix m’aiguillonne le cœur par ces mots : "Souviens-toi
de tes frères séparés. Souviens-toi que tu es victime pour eux aussi.
Souviens-toi qu’ils étaient soutenus par ton amie Gabriella, qui est
trappistine.
31 décembre 1947 :
Mais si ma mort m’est pas sanglante, ce n’en est pas moins une effusion de ma
vitalité que cette mort lente au milieu des tortures de tant de maladies qui
me tiennent alitée depuis quinze ans après m’avoir mise au supplice debout
quatre années auparavant, et rendue souffrante dès 1920. Mais c’est bien
volontiers que je souffre pour mes "frères séparés". Je voudrais
obtenir leur retour à l’Église de Rome.
Même dans l’Œuvre et les dictées, Jésus a fait allusion à plusieurs reprises
à ces pauvres frères séparés de leur véritable Bergerie, et je nourris un
vrai et profond amour pour eux, le sacrifice ne me pèse pas, car je voudrais
les voir dans la Vie, le Chemin et la Vérité.
Lorsque, en 1942, j’appris ce que vivait sœur M. Gabriella, la trappistine de
Grottaferrata, je n’ai eu qu’un seul regret, qui dure encore: que Dieu me
garde si longtemps à me consumer alors que j’ai une telle hâte d’accomplir le
sacrifice, pourvu que nos pauvres frères séparés reviennent dans le Corps
mystique.
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Livre
d’Azarias
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À venir.
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Leçons
sur l’épître de saint Paul aux romains
Voir le sommaire.
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Leçon n°38 : Ceux qui veulent
être chrétiens, et chrétiens véritables, doivent avoir pour leurs frères
séparés les mêmes sentiments que Paul a eu pour les juifs ses frères séparés.
Fils prodigues de différentes espèces. Les uns qui croient au Christ mais ne
sont pas membres du Corps mystique, puisqu'ils ne sont pas unis au tronc de
la Vigne mystique, qui est l'’Eglise de Rome. D'autres qui sont membres de
cette Église de Rome, mais membres morts. Ils ont reçu le baptême et d'autres
sacrements de la vraie Église, mais, par la suite, la mauvaise volonté les a
fait tomber dans des fautes mortelles ou dans des habitudes de péché, ou bien
ils ont été frappés par des sanctions ecclésiastiques étant devenus victimes
d'hérésies de différentes espèces: superstitions, idolâtries, même envers
l'homme, commerce avec le diable, appartenance à des sectes anti-chrétiennes,
spiritisme, magie, ou autres choses du genre.
|
Divers.
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À venir.
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Dans les textes fondamentaux
chrétiens.
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|
Dans la Bible
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|
Indication des sources à venir.
|
Dans
le catéchisme de l'Église catholique
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|
§ 813
à 816 : L’Église est une.
§ 817 à 819 :
Les blessures de l’unité.
§ 820 à 822 :
Vers l’unité.
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Dans d'autres sources.
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Fiche mise à jour le 28/11/2019.
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