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   Maria Valtorta 
  Sa vie, son œuvre. 
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  Sommaire du dossier Maria Valtorta. 
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  Réponse à un article. 
  Maria
  Valtorta sur Wikipédia. 
   
  Trouvez ici ce qu’on vous cache là-bas(*). 
    Vous lisez un « article de
  qualité ». 
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  (*) 
  La multiplicité des contributions systématiquement censurées depuis 10 ans
  sur l’article
  Wikipédia, nous oblige à proposer aux internautes cette version
  qu’ils auraient dû lire dans le respect des règles de cette
  « Encyclopédie libre ».  
  L’auteur primitif de l’article à charge sur Wikipédia a été exclu au terme
  d’une série impressionnante de conflits de tous genres sur de multiples
  sujets, mais l’un des censeurs restants a déclaré sur un forum, être un
  opposant déterminé de Maria Valtorta et de l’Église catholique.          
  Cette position assumée est loin de l’objectivité propre à une encyclopédie
  neutre. Elle aboutit à un article tronqué des pièces essentielles. Il
  contrevient ainsi à la véracité de l’information sur le sujet même de notre
  site. 
  Il ne nous appartient pas de nous immiscer dans le fonctionnement de
  Wikipédia, seulement de rétablir le pour et le contre dans notre réponse
  ci-contre en forme de copie corrigée.          
  Chacun jugera par lui-même.         
  En effet, cette censure d’un autre temps n’a pas empêché la francophonie
  d’être, en 2017, le premier lectorat de cette œuvre prisée des papes et des
  saints. Elle est diffusée sans interruption depuis 60 ans à millions
  d’exemplaires et en 27 langues. 
   
  François-Michel Debroise. 
  31 janvier 2018. 
   
   
   
    
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   Maria Valtorta est une mystique catholique
  italienne du tiers ordre des Servites de Marie, née à Caserte, en Campanie,
  le 14 mars 1897 et décédée le 12 octobre 1961 à Viareggio en Toscane.          
   
  Elle est notamment l'auteur d'un livre en plusieurs volumes, L'Évangile
  tel qu'il m'a été révélé, qui évoque des scènes de la vie du Christ
  qu'elle dit recevoir par visions.             
   
  Selon les trois religieux qui furent reçus en audience par Pie XII le 26
  février 1948, la publication
  de cette vie de Jésus, qu’il aurait personnellement lue, aurait été
  encouragée par le pape en ces termes : « Publiez l’œuvre telle
  quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle
  soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront, comprendront. »    
   
  Cependant, après la mort du Souverain-Pontife, l’ouvrage fut mis à l’Index
  par le Saint-Office le 16 décembre 1959 pour défaut d’imprimatur.     
   
  En 1992, à l'initiative du cardinal Ratzinger la Conférence des évêques
  italiens demande à l'éditeur de Maria Valtorta « qu'à l'occasion d'une
  éventuelle réimpression des volumes, il soit clairement dit, dans les
  premières pages, que les visions et dictées qu'ils relatent ne peuvent pas
  être considérées comme d'origine surnaturelle, mais doivent être considérées
  simplement comme les formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour
  raconter, à sa manière, la vie de Jésus. »  
   
  Selon son secrétaire particulier, Jean-Paul II lisait la vie de Jésus de
  Maria Valtorta. Mère Teresa de Calcutta
  l’emmenait dans ses voyages. 
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   Sommaire 
  1 Biographie 
  2 L'œuvre de Maria Valtorta 
  3 Publication et
  mise à l'index 
  4 Le
  commentaire de L'Osservatore Romano 
  5 Depuis la mise à
  l'index 
  5.1 Chronologie des faits 
  5.2 Selon l'éditeur 
  5.3 Selon les travaux publiés 
  6 Bibliographie. 
  6.1 Œuvres de Maria Valtorta 
  6.2 Publications
  sur Maria Valtorta 
  
  6.3 Liens externes 
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   Sauf indication contraire, les
  informations de cette section sont extraites de l'autobiographie de Maria
  Valtorta. 
  Maria Valtorta est née à Caserte,
  au nord de Naples, dans un milieu relativement modeste, d'un père
  sous-officier de cavalerie pour qui elle avait une grande et profonde
  affection, et d'une enseignante de français, qu'elle décrit comme une femme
  très autoritaire qui exigeait l'exclusivité de l'attention de sa fille. La
  famille se déplace suivant les affectations du père.       
   
  Pendant la Première Guerre mondiale elle s'enrôle comme infirmière
  à l’hôpital militaire de Florence, ville où
  elle réside longuement. Selon Maria Valtorta, par deux fois des prétendants
  sont évincés par sa mère possessive. Le 17 mars 1920, elle se promène avec sa
  mère quand « un petit délinquant, fils d’un communiste et de notre
  modiste » la frappe violemment dans le dos avec une barre métallique en
  criant « À bas les riches et les militaires ! ». Elle doit garder le lit durant
  trois mois et s’en remet partiellement par un séjour de deux ans à Reggio de Calabre auprès de cousins.     
   
  En 1924, elle s’établit définitivement avec ses parents à Viareggio, sur la
  côte toscane. C’est là que, le 28 janvier 1925, suivant l’exemple de sainte
  Thérèse de l’Enfant-Jésus, elle s’offre comme victime à l’Amour
  miséricordieux. Une offrande qu’elle renouvela tous les jours par la suite. Elle s’engage dans sa paroisse
  comme déléguée de l’Action catholique féminine, mais ses souffrances
  augmentent. Sa santé se détériore progressivement. Le 1er avril 1934,
  dimanche de Pâques, elle demeure définitivement clouée sur son lit.     
   
  À partir de 1943 jusqu'en 1950, et dans une moindre mesure jusqu'en 1953,
  Maria Valtorta écrit environ quinze mille pages de cahiers. Les deux tiers à
  peu près de la production littéraire de Maria Valtorta concernent l’œuvre
  monumentale de la vie de Jésus qu'elle affirmait connaître à travers des
  visions.        
   
  Selon le Père Roschini, dans une lettre du 18 avril 1949, Maria Valtorta
  confie à une religieuse avoir complété ses offrandes précédentes à Dieu par
  celle de son intelligence et la satisfaction de voir son œuvre approuvée. De
  fait, à partir de 1956 se manifesta en elle un dépérissement mental qui se
  développa jusqu’à sa mort.  
   
  Elle meurt le 12 octobre 1961 après avoir vu, vingt mois avant sa
  mort, la publication de l'œuvre qui, selon ce qu'elle disait des directives
  de Jésus, devait être anonyme,
  mise à l'Index.       
   
  Le 2 juillet 1973, ses restes sont transférés de Viareggio à la Basilique de
  la Santissima Annunziata de Florence, lieu fondateur de l’Ordre des Servites
  de Marie dont elle était tertiaire.     
   
  Son épitaphe rappelle ses trois titres de gloire : Membre du Tiers ordre
  des Servites de Marie (Tertii ordinis
  servorum Sanctae Maria sodalis) – Hostie agréable à Dieu (Hostia
  Deo grata) – Écrivaine mystique (Divinarum rerum scriptrix).      
   
  Le 15 octobre 2011, à l’invitation des Servites de Marie et de la Fondation
  Maria Valtorta CEV, le cinquantième anniversaire de sa mort est célébré au
  grand cloître de la Santissima Annunziata où se trouve la tombe de Maria
  Valtorta. La cérémonie
  est présidée par un nonce apostolique, Mgr Pier Giacomo De Nicolò, archevêque de Martana.    
   
  Le site des Servites de Marie compte Maria Valtorta au rang des
  « Serviteurs de Dieu » titre réservé aux
  personnes pour laquelle une cause de béatification a été introduite en raison
  de leur vie de sainteté. Ils avaient en effet introduit
  sa cause auprès de Mgr Ennio Antonelli, archevêque de Florence. Celui-ci leur
  avait répondu, le 3 octobre 2002, que cela n’était pas opportun « pour
  le moment ». 
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   Selon ce que rapporte son éditeur,
  Maria Valtorta a rempli 122 cahiers, soit près de 15 000 pages
  manuscrites, sans aucune rature, avec la
  description des visions et révélations qu'elle dit avoir reçues de Dieu entre
  1943 et 1950 essentiellement. De ces 122 cahiers a d'abord été tirée, en 1956, l'œuvre principale, Le
  Poème de L'Homme-Dieu (Il poema dell'Uomo-Dio). La traduction française, en 10
  volumes, ne reprend que le sous-titre initial : L'Évangile tel
  qu'il m'a été révélé. Ce titre est dû à la volonté expresse du premier
  traducteur de l’œuvre en
  français. Il fut généralisé ultérieurement par l’éditeur.  
   
  Les autres écrits de Maria
  Valtorta se présentent comme des enseignements de Jésus.
  Ils ont été édités dans l'ordre chronologique de leur rédaction et publiés en
  trois volumes : Les cahiers de 1943, les cahiers de
  1944 et les cahiers de 1945 à 1950. Son œuvre compte
  aussi une Autobiographie rédigée à la demande de son
  confesseur ,
  des Leçons sur l'épître de saint Paul aux Romains, et le Livre
  d'Azarias, commentaires des textes de la messe donnés, selon Maria Valtorta,
  par son ange gardien.         
   
  Maria Valtorta assure rapporter ce qu'elle voit et entend. Selon l'éditeur,
  tout en gardant le lit et malgré ses souffrances,
  elle écrivait de sa propre main et d'un seul jet, à n'importe quelle heure du
  jour ou de la nuit.
  « Les seuls livres qu'elle pouvait consulter étaient la Bible et le
  Catéchisme de Pie X ».    
   
  Maria Valtorta précise ce qu'elle appelle son « travail » :
  « écrire sous la dictée ou décrire ce qui se présente à moi. S'il s'agit
  de dictée et qu'elle se rapporte à un passage de la Bible, Jésus commence par
  me faire ouvrir le Livre au passage qu'Il veut expliquer. […] Si c'est la
  vision qui se présente, comme je l'ai dit, avec une image initiale qui est
  généralement le point culminant de la vision, et puis se déroule en suivant
  l'ordre […] je décris ce point, puis ce qui précède et ce qui suit ». 
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   Le pape Pie XII a reçu en audience
  spéciale le père Romualdo Migliorini, confesseur de Maria Valtorta, et le père
  Corrado Berti, son confrère, accompagnés de leur prieur le père Andrea M.
  Cecchin. L'Osservatore
  Romano du 27 février 1948 mentionne cette audience, mais n'en révèle pas
  la teneur comme d’usage.     
   
  Selon L'Osservatore Romano en date du 6 janvier 1960 l’ouvrage aurait
  été examiné par le Saint-Office qui en aurait interdit la publication peu
  après l’audience. L’article mentionne en effet des souvenirs d’« il y a
  environ dix ans, alors que circulaient certains textes dactylographiés
  volumineux, qui contenaient de prétendues visions et révélations. On sait
  qu’alors l’autorité ecclésiastique compétente avait défendu l’impression de
  ces textes dactylographiés et avait ordonné qu’ils soient retirés de la
  circulation ».  
   
  Cependant, depuis cette époque, on n’a jamais trouvé aucune trace écrite
  d’une telle interdiction ni dans les Actes
  officiels du Saint-Siège, avant la mise à
  l’Index de 1959, ni dans d’autres documents officiels ou officieux du
  Vatican. Son contenu, ses motivations et la date exacte demeurent inconnus.  
   
  Seule une attestation sous serment du père C. Berti relate une altercation
  avec deux commissaires du Saint-Office en 1949, sans préciser le mois. L’un des
  commissaires impliqués, Mgr Giovanni Pepe, fut démis de ses fonctions en août
  1952 par Pie XII pour avoir, sans son consentement, mis à l’Index des livres
  parlant du Padre Pio.
  Selon les affirmations du père Berti, ce commissaire aurait tenté, en dehors
  de toutes procédures habituelles,
  de détruire l’œuvre de Maria Valtorta.           
   
  Dans cette même attestation le Père Berti affirme sous serment avoir reçu de
  Pie XII, en conclusion de l’audience du 26 février 1948, un encouragement à
  publier l’œuvre de Maria Valtorta, dont il avait personnellement pris
  connaissance, en ces termes : « Publiez l’œuvre telle quelle, qui
  lira comprendra », termes notés par les trois témoins dès leur sortie de
  l’audience. Pour Mgr
  Édouard Gagnon cet imprimatur devant témoins est parfaitement valide. Pour Mgr René
  Laurentin, contemporain de cette période en tant qu’expert au concile Vatican
  II, l’encouragement de Pie XII est établi.    
   
  Le Poème de Jésus, titre du
  premier volume, et Le Poème de l'Homme-Dieu, titre des
  trois volumes suivants, sont publiés à partir de 1956 par un imprimeur, Michele Pisani. Cet ensemble de textes sera publié en
  français sous le titre de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé.     
   
  Le quatrième tome paraît en 1959, au début du pontificat de Jean XXIII.
  L'ouvrage est mis à
  l'Index le 16 décembre 1959 (avec publication du
  décret le mardi 5 janvier 1960) par le Saint-Office. Le décret de mise à l'Index, signé par le notaire Massala
  est commenté le lendemain 6 janvier 1960 par L'Osservatore Romano,
  l'organe de presse du Vatican. 
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   Sous le titre « Une Vie de
  Jésus mal romancée », L’article 
  motive la mise à l’Index par le défaut d’imprimatur. Motif
  disciplinaire, mais non théologique, qu’il réitère en fin d’article.        
   
  Puis le rédacteur conteste la valeur littéraire des quelques 4 000 pages
  de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé. Il s'étonne des propos
  des éditeurs, qui comparent l’auteur à Dante.          
   
  Il justifie « cette espèce d'histoire romancée » par « la longueur
  des discours attribués à Jésus et à la très sainte Vierge; et les
  interminables dialogues entre de nombreux personnages qui peuplent ces
  pages. ». Il oppose les quatre Évangiles qui nous présentent « un
  Jésus humble et réservé » à celui de cette œuvre « loquace au
  maximum, presque sur un ton publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie
  et Fils de Dieu, et à donner des leçons de théologie dans les mêmes termes
  que ceux qu'emploierait un professeur de nos jours. »           
   
  De même, il oppose « l'humilité et le silence de la Mère de
  Jésus », que l'on trouve dans l’Évangile, à l'ouvrage de Maria Valtorta,
  où « la Très Sainte Vierge a la faconde d'un
  propagandiste d'aujourd'hui » et où elle apparaît omniprésente,
  « toujours prête à donner des leçons de théologie mariale qui suivent
  les développements les plus récents des spécialistes actuels en la
  matière ».       
   
  Il note que « les
  spécialistes des études bibliques y trouveront certainement beaucoup
  d’erreurs historiques, géographiques et autres. » mais il n’en cite
  aucun exemple.            
   
  « Au milieu d’un si grand étalage de connaissances théologiques »,
  il note « quelques perles qui ne brillent certes pas par leur orthodoxie
  catholique ». Il en énumère quatre.   
   
  - « Ici et là s’exprime, au sujet du péché d’Adam et Ève, une opinion
  plutôt extravagante et inexacte », mais il ne précise ni quoi, ni où.         
   
  - « Marie peut-être appelée seconde-née du Père ». Selon le
  commentateur, les précisions fournies évitent l’hérésie, mais laisse
  l’impression qu’on veut fonder « une nouvelle mariologie dépassant les
  bornes théologiques ». Il venait de reconnaître pourtant que la
  théologie mariale suivait « les développements les plus récents
  des spécialistes actuels en la matière ».  
   
  - Une affirmation
  « hermétique et plus confuse que jamais » sur la Vierge Marie, le
  Paradis et la Trinité.  
   
  - Une « affirmation étrange et imprécise » : « Pendant le
  temps que tu resteras sur la Terre, c'est toi qui seconderas Pierre comme
  hiérarchie ecclésiastique. »            
   
  Dans les dernières pages du quatrième et
  dernier volume, le commentateur remarque : « L'auteur se révèle…
  une femme et écrit qu'elle a été témoin de tout le temps messianique, et
  qu'elle s'appelle Marie (Valtorta). » Le patronyme est déduit par le
  commentateur mais non mentionné dans le texte original. 
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   En 1961, commence à sortir une seconde
  édition qui allait comporter 10 volumes. L'Osservatore Romano du 1er
  décembre 1961 publie un article étendant à la seconde édition la prohibition
  de la première. Le motif
  demeure le défaut d’imprimatur. La décision exposée ne se réfère à aucune autorité
  de l’Église comme il est pourtant d’usage. Le journal est en effet un organe
  autorisé, mais « n’a pas de valeur officielle » intrinsèque            
   
  Le 14 juin 1966, l'Index est
  aboli : il « n’a plus force de loi ecclésiastique avec les censures
  qui y sont attachées ».              
   
  Le cardinal Alfredo Ottaviani, désormais Pro-préfet de la Congrégation pour
  la doctrine de la foi, précise que si la dissolution de l'Index lève la
  prohibition sur tous les ouvrages concernés, ce que confirme le décret d’interprétation
  du 15 novembre 1966, l'Index n'en garde pas moins sa
  force morale « d’avertissement » à la conscience, et non plus
  d’interdiction.            
   
  « C’est pourquoi l’Église fait confiance à la conscience mûre des
  fidèles » affirme la notification qui délègue aux évêques et à leurs
  conférences, le soin d’éclairer les fidèles.          
   
  En 1973, Le Père Gabriele M. Roschini
  publie La Vierge Marie dans l’œuvre de
  Maria Valtorta.
  Il déclare en préambule qu’« aucun autre écrit marial, pas même la somme
  de tous ceux que j'ai lus et étudiés, n'avait été en mesure de me donner sur
  Marie, chef-d'œuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi
  complète, aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime,
  que les écrits de Maria Valtorta. ». Il fait parvenir un exemplaire de
  son ouvrage à Paul VI. Le 14 janvier 1974 la Secrétairerie d’État, la plus
  haute instance du Vatican, le remercie au nom du Souverain-Pontife pour
  « le précieux travail » en exprimant l'espoir que ses efforts
  recueillent des fruits spirituels abondants.         
   
  Le 19 mars 1975, l’imprimatur,
  qui avait motivé la mise à l’Index de l’œuvre de Maria Valtorta, est réformé.
  Désormais les œuvres telles que la sienne échappent à l’obligation
  d’imprimatur. L’autorité des évêques et de leurs
  conférences est confirmée.    
   
  Le 19 septembre 1975, Mgr Ottavio Michelini, un mystique italien, aurait reçu
  de Jésus cette affirmation : « J'ai dicté à Maria Valtorta,
  âme-victime, une œuvre merveilleuse. De cette œuvre, Je suis l'auteur. »    
   
  Le 31 janvier 1985 dans un courrier adressé au cardinal Siri,
  archevêque de Gênes, le cardinal Joseph Ratzinger, Préfet de la Congrégation
  pour la doctrine de la foi depuis le 25 novembre 1981, estime que leur
  diffusion ne serait pas « opportune » en
  raison « des dommages qu'une telle publication peut causer aux fidèles
  les plus naïfs ». Mais il laisse le cardinal Siri libre de la réponse à apporter.             
   
  En mars 1992, sept évêques de l’Inde, dont quatre archevêques et deux Pères
  conciliaires de l’Église catholique syro-malabare,
  saluent la sortie de l’œuvre de Maria Valtorta en langue locale du sud, le malayalam.    
   
  Le 6 mai 1992, Mgr Dionigi
  Tettamanzi,
  secrétaire général de la Conférence épiscopale italienne, demande à l'éditeur
  de l'ouvrage « qu'à l'occasion d'une éventuelle réimpression des
  volumes, il soit clairement dit, dans les premières pages, que les visions et
  dictées qu'ils relatent ne peuvent pas être considérées comme d'origine
  surnaturelle, mais doivent être considérées simplement comme les formes
  littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de
  Jésus. »            
   
  François-Michel
  Debroise note que la formule employée n’est pas l’affirmation « ne sont
  pas d’origine surnaturelle », mais la directive « ne doivent pas
  être considérées comme ». Formule qu’il juge conforme aux usages de
  l’Église pour laquelle les révélations privées ne sont crédibles que de
  « simple foi humaine et non divine ».       
   
  En août 1992, le père Roman Danylak de l'Église grecque-catholique
  ukrainienne du Canada, théologien et docteur en droit canonique, publie un
  long article dans lequel il réfute les critiques formulées, à l’époque, à
  l’encontre de l’œuvre de Maria Valtorta et démontre son point de vue
  favorable à l’œuvre.  
   
  Le 11 octobre 1992, le Catéchisme de
  l’Église catholique confirme que les
  révélations privées n’appartiennent pas au dépôt de la foi et renouvèle sa
  confiance dans le jugement des fidèles. Le rôle de ces révélations privées
  « n’est pas d’améliorer ou de compléter la Révélation définitive du
  Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de
  l’histoire. Guidé par le Magistère de l’Église, le sens des fidèles sait
  discerner et accueillir ce qui dans ces révélations constitue un appel
  authentique du Christ ou de ses saints à l’Église. »          
   
  Le 11 mai 1993, Mgr Raymond Boland, évêque de
  Birmingham en Alabama,
  répond à une question de Terry Colafrancesco,
  fondateur d’un groupe de prière nommé Caritas,
  en se référant à une lettre qu’il a reçu du cardinal Ratzinger.
  Il en reprend les termes concernant l’œuvre de Maria Valtorta :
  « qu’il soit clairement indiqué à partir de la première page que les
  visions et les dictées auxquelles on se réfère ne sont que les formes
  littéraires utilisées par l'auteur pour narrer à sa façon la vie de Jésus.
  Elles ne peuvent être considérées comme d'origine surnaturelle. » Il
  mentionne les fondements de cette conclusion invoqués par le Saint-Siège ,
  c’est-à-dire les notes publiées par l’Osservatore
  romano et la demande transmise à l’éditeur par la conférence épiscopale
  italienne. Il s’agit donc de la confirmation d’éléments connus.     
   
  Le 23
  avril 1996, le père Giandomenico Mucci, répond au nom du directeur de La Civiltà Cattolica
  à un lecteur s’interrogeant sur la mise à l’Index de Maria
  Valtorta : L’Index n’a plus de valeur juridique dans l’Église. Il
  signale une orientation mais c’est à la conscience de décider. Dans le cas du
  lecteur, il juge évident que la lecture de Maria Valtorta ne constitue pas un
  danger pour sa foi, mais au contraire, la fortifie.
  La Civiltà Cattolica est considérée comme une revue
  semi-officielle du Saint-Siège.   
   
  En 1999,
  le Père Yannik Bonnet, alors en formation à Rome, affirme dans un entretien
  donné ultérieurement à Radio Notre-Dame, que le cardinal Stanislas Dziwiz, secrétaire de Jean-Paul II lui avait certifié
  avoir vu plusieurs fois les œuvres de Maria Valtorta sur la table de chevet
  du Souverain Pontife.         
   
  Le 24 juin 2001, Mgr Roman
  Danylak, devenu entretemps administrateur apostolique de l’Église
  grecque-catholique ukrainienne pour l’est canadien, atteste de la parfaite conformité
  de l'œuvre avec « les Évangiles canoniques, la Tradition et le Magistère
  de l’Église catholique ».         
   
  Le 13 février 2002, il encourage officiellement la consultation d’un site
  d’un moine catholique qui publie l’œuvre de Maria Valtorta et réaffirme la
  conformité de celle-ci à la foi catholique. À cette occasion, il mentionne
  que le cardinal Ratzinger « en lettres privées, a reconnu que ce travail
  est exempt d'erreurs de doctrine ou de morale », mais il ne précise pas
  ces sources privées.     
   
  Le 27 avril 2007, les évêques chinois, en préparation d’un synode sur La Parole de Dieu dans la vie et la
  mission de l’Église, formulent le vœu que les œuvres de
  Maria Valtorta puissent continuer à être traduites dans leur langue pour
  aider le peuple de Dieu à apprécier le message évangélique.           
   
  Le 21 avril 2012 à N.D. de Guadalupe à Mexico, le cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation pour les causes des
  Saints, représentant le pape Benoît XVI, béatifie Mère María Inés Teresa
  Arias Espinosa qui se disait
  « friande » de l’œuvre de Maria Valtorta.
  Le 19 juillet 2001, une religieuse de sa congrégation, sœur Maria Uranga, confirme à l’éditeur que leur fondatrice avait
  fait distribuer l’œuvre de Maria Valtorta dans chacune des 35 maisons qu’elle
  avait fondé, « parce qu’elle l’aimait beaucoup ». Elle l’avait
  aussi distribué à des prêtres et à des évêques.     
   
  Le 29
  septembre 2012 à Acireale en Sicile, le cardinal Angelo Amato, toujours au nom du pape Benoît XVI,
  béatifie le Père Gabriele Allegra, traducteur de la Bible en chinois. Il
  avait écrit dans son journal à la date du 26 août 1968 : « Dons de
  la nature et dons mystiques harmonieusement conjugués expliquent ce chef
  d’œuvre de la littérature religieuse italienne et, devrait-on dire, de la
  littérature chrétienne mondiale. »  
   
  Le 3 janvier 2015, Mgr Leo
  Maasburg, directeur national des Œuvres Pontificales Missionnaires en
  Autriche et confesseur de Mère Teresa pendant 4 ans publie une attestation
  selon laquelle Mère Teresa de Calcutta emmenait l’œuvre de Maria Valtorta
  dans ses déplacements. À la question du Père Maasburg, elle avait
  répondu : « lisez la ». 
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   En 1985, Emilio Pisani,
  fils de Michele Pisani, premier éditeur de Maria
  Valtorta, crée une société privée ad hoc, le Centro
  Editoriale Valtortiano (CEV). Les statuts du CEV indiquent que la
  société a pour « vocation spécifique et prioritaire de développer,
  documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de
  ses écrits, de ses idéaux, au moyen de l'impression et de la vente de ses
  œuvres littéraires ».     
   
  Depuis
  cette époque, la société éditrice de sept salariés ne vit que d’un seul
  auteur et des publications s’y rapportant. Mais en 2010, l’activité a été
  scindée en société éditrice marchande d’une part, et d’autre part en une fondation
  de droit italien exclusivement consacrée au développement du patrimoine
  intellectuel issu de Maria Valtorta.             
   
  Dans ce cadre, le CEV, puis la Fondazione ont réuni les déclarations, textes,
  articles, lettres provenant de différentes sources, en faveur ou en défaveur
  de l’œuvre de Maria Valtorta et les ont publiés principalement dans Pro e contro
  Maria Valtorta, déjà cité.       
   
  Il y font état du soutien de plusieurs ecclésiastiques de haut
  rang à l’œuvre de Maria Valtorta, avant et après sa mise à l'Index.     
   
  Les soutiens antérieurs à la mise à l’Index, sont attestés par l’Osservatore romano du 6 janvier
  1960. Dans l’article commentant cette condamnation, il mentionne qu’elle a eu
  lieu « malgré les personnalités illustres (dont l'incontestable bonne
  foi a été surprise) qui ont apporté leur appui à la publication ». Parmi
  ces personnalités qui, le 29 janvier 1952, joignirent leur soutien écrit à
  une supplique à Pie XII, on trouve
  notamment :     
   
  - Mgr Alfonso Carinci, secrétaire de
  la Congrégation pour les Rites sacrés en charge notamment de la cause des
  saints. Il est le signataire de la supplique. Dans l’attestation qu’il joint,
  il déclare, après avoir longuement étayé son jugement, vouloir remercier le
  Seigneur « de nous avoir donné par l'intermédiaire de cette femme qui a
  tant souffert, qui est clouée au lit, une œuvre littérairement sublime,
  doctrinalement et spirituellement si élevée ». Il
  entretint par la suite une correspondance suivie avec Maria Valtorta de 1949
  à 1955.        
   
  - Le Père Augustin Bea, alors directeur de l'Institut Biblique Pontifical et
  confesseur de Pie XII. Dans son attestation, il déclare
  avoir lu plusieurs fascicules de l'ouvrage écrit par Maria Valtorta. Il
  qualifie cette lecture « d’édifiante ». Il s’est attaché
  « plus particulièrement aux domaines exégétique, historique,
  archéologique et topographique. Pour ce qui est de son exégèse, je n'ai pas
  trouvé d'erreurs importantes dans les fascicules que j'ai examinés. En outre,
  j'ai été très impressionné par le fait que ses descriptions archéologiques et
  topographiques sont faites avec une exactitude remarquable. ». À
  l’époque de la mise à l’Index, c’était un cardinal particulièrement impliqué
  dans la préparation du concile.       
   
  - Maître Camillo Corsanego, diplômé de droit canon et Doyen des
  conseillers consistoriaux, chargés de l’instruction des causes de
  béatification et de canonisation. Il est le seul laïc à avoir assisté, à ce
  titre, aux séances inaugurales du concile Vatican II. Dans son attestation de
  janvier 1952, il assure avoir lu beaucoup d’ouvrages « apologétiques,
  hagiographiques, théologiques et d’exégèse biblique ; mais je n'ai jamais
  trouvé un ensemble de science, d'art, de piété et d'adhésion aux enseignements
  traditionnels de l'Église comme dans l’Œuvre de Maria Valtorta traitant des
  Évangiles ». Le 8 avril 1957, dans un mot accompagnant l’envoi des œuvres de
  Maria Valtorta à un ami, il les qualifie de « destinées à laisser leur
  marque dans l’histoire du christianisme »      
   
  - Mgr Maurizio Raffa (1906-1957), directeur du Centre romain de comparaison et de synthèse qu’il avait fondé en
  1940. Le 30 janvier 1948, il est nommé membre de ce qui devient l’année
  suivante le Conseil pontifical pour les
  communications sociales. Dans son
  attestation du 25 janvier 1952, il note que « pour écrire une seule partie de
  l'œuvre (de Maria Valtorta), il faudrait être un auteur - qui n’existe pas
  aujourd’hui - tout à la fois grand poète, bibliste talentueux, théologien
  confirmé, expert en archéologie et en topographie, et profond connaisseur de
  la psychologie humaine ». Par lettre du 22 juin 2009, le Mémorial de Yad Vashem a informé sa nièce
  qu’il était retenu au titre de « juste parmi les nations ».           
   
  La supplique ne parvint jamais à Pie XII et fut interceptée par le
  Saint-Office, ce qui explique que l’article de l’Osservatore romano, commentant la mise à l’Index, puisse s’y
  référer.         
   
  Le 6 juin 1986, Mgr George Hamilton Pearce, archevêque
  métropolitain des Fidji et Père conciliaire, écrit à l’éditeur que l’auteur
  de l’œuvre de Maria Valtorta « ne peut être autre que l’Esprit Saint de
  Dieu ».            
   
  Le 23 mars 2017, à l’occasion de la sortie de la nouvelle traduction
  française de l’évangile tel qu’il m’a
  été révélé, l’éditeur a fait le point sur la diffusion de l’œuvre, 60 ans
  après la première publication. Selon lui, 4 millions de volumes auraient été
  écoulés dans le monde. L’œuvre serait traduite en 27 langues. 
  
  Le père G.M. Roschini, fondateur
  de l’université pontificale mariale Marianum, conclut ainsi son étude des
  écrits de Maria Valtorta : « qui veut connaître la Sainte Vierge
  (une Vierge en parfaite harmonie avec le magistère ecclésiastique, en
  particulier avec le concile Vatican II, les Saintes Écritures et la Tradition
  de l’Église) se doit de puiser à la mariologie valtortienne ! »            
   
  Mgr René Laurentin, prélat de Benoît XVI, conclut son étude comparative sur La vie de la Vierge Marie d’après les
  révélations des mystiques : « Maria Valtorta émerge et se
  recommande à bien des titres […] Sa vie de longue souffrance, vécue dans un
  abandon total à Dieu, témoigne de sa sainteté. Elle ne s'éloigne en rien de
  l'Evangile, ne le contredit nulle part, n'y ajoute pas des enseignements
  étrangers et reste conforme à l'esprit de l'Évangile. […] Elle a recueilli
  les plus larges ralliements au sommet dont celui de Pie XII qui l'a protégé
  discrètement du Saint-Office »            
   
  Pour Jean Aulagnier, polytechnicien, la chronologie des 1.200 jours environ
  de la vie publique de Jésus « au jour le jour », qu’il reconstitue
  méthodiquement au terme de cinq ans d’études, à partir des écrits de Maria
  Valtorta, ne peut humainement s’expliquer. L’abondance des données comprises
  dans ses visions exclut de même un simple hasard.      
   
  Les auteurs du Dictionnaire des
  personnages de l’Évangile selon Maria Valtorta, s’interrogent :
  « D'où lui viennent ces connaissances ? À la différence des autres voyantes
  que nous avons examinées, le récit de Maria Valtorta semble confirmer qu'elle
  avait une réelle vision de la vie du Christ il y a deux mille ans. Ces
  convergences entre ses récits – apparemment les plus gratuits – et la réalité
  historique, géographique, sociologique, zoologique, botanique, chronologique,
  posent la question : Comment Maria Valtorta, sans culture, diplômes,
  érudition, retrouve-t-elle les données les plus cachées d'il y a deux
  millénaires ? Cela ne parait pas explicable par le hasard. »           
   
  Pour Jean-Marcel Gaudreault, « Quant à l’authenticité de l’œuvre (de
  Maria Valtorta), les points qui militent en sa faveur sont si nombreux que
  même les plus sceptiques auraient de la difficulté à monter un arsenal le
  moindrement crédible pour les contrer d’une manière raisonnable. »     
   
  Jean-François Lavère, ingénieur, présentant le deuxième tome de L’Énigme Valtorta, souligne :
  « Ayant mené personnellement cette étude quotidiennement depuis près de
  vingt années, elle m'a bien souvent conduit à examiner les différentes
  théories échafaudées au cours des siècles par les générations successives
  d'érudits. […] Ma surprise fut immense, en constatant qu'en de multiples
  occasions, le texte transmis par Maria Valtorta éclairait de façon
  harmonieuse et fort logique un grand nombre de ces
  sujets d'interrogations ou de controverses. […] Dans le premier tome de
  l'Énigme Valtorta, je me suis efforcé de montrer que loin d'être une simple
  fiction romanesque comme ont été tentés de le faire croire certains, l'œuvre
  de Maria Valtorta comporte au contraire de très nombreuses informations
  vérifiables et véridiques qui la rendent globalement à la fois cohérente et
  crédible. Mon propos est maintenant d'examiner dans quelle mesure cette œuvre
  s'insère harmonieusement dans les Écritures et la Tradition. »           
   
  Pour François-Michel Debroise, « Ces publications sont le début d’une
  longue liste de travaux à venir, fondateurs d’une nouvelle exégèse
  scientifique, tant les premières découvertes sont prometteuses. La
  convergence des recherches qui se font de par le monde amplifiera les
  résultats. Maria Valtorta n’avait aucuns moyens d’acquérir la vaste érudition
  dont elle fait preuve. » 
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   Ne sont indiqués
  que les œuvres disponibles en français. D’autres écrits demeurent  inédits ou disponibles en italien.       
   
  * L'Évangile tel qu'il m'a été révélé
  - 10 tomes – 4.856 pages – traduction française de 1979 – Éditions Centro
  Editoriale Valtortiano – de ISBN 88-7987-051-3 à
  ISBN 88-7987-060-2.           
   
  * L'Évangile tel qu'il m'a été révélé
  - 10 tomes – 5.374 pages – traduction française de 2017 – Éditions Centro
  Editoriale Valtortiano – de ISBN 88-7987-263-8 à
  ISBN 88-7987-272-0 - Édition entièrement retraduite et augmentée de 500
  pages.          
   
  * Autobiographie – 505 pages - 1993
  - - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-011-4.
  Autobiographie écrite à la demande de son confesseur, de février à avril
  1943. Elle ne fut publiée qu’après sa mort.  
   
  * Leçons sur l'Epître de saint Paul aux
  Romains – 2001 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN
  88-7987-069-6. Commentaires de Jésus qu'aurait reçus Maria Valtorta : la
  Création, la Grâce, la venue du Royaume de Dieu, la justice et de la
  miséricorde de Dieu.            
   
  * Le livre d'Azarias – 2002 -
  Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-094-7. Ce livre aurait
  été dicté en 1946 et 1947 à Maria Valtorta par Azarias, son ange gardien. Il
  comporte un commentaire théologique et spirituel des messes festives du
  missel romain.           
   
  * Les Cahiers de 1943 – 2002 –
  Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-091-2. Dictées
  qu'aurait reçues Maria Valtorta sur divers sujets d'ascèse, d'exégèse, de
  doctrine, incluant des descriptions des scènes évangéliques et du martyre des
  premiers chrétiens.      
   
  * Les Cahiers de 1944 - 2003 -
  Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-099-8. Suite du
  précédent.   
   
  * Les Cahiers de 1945 à 1950 – 2004
  - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-128-5. Suite et fin
  des précédents avec, au final, un commentaire de l’Apocalypse. 
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  Thèses
  universitaires
  * (it) L'Assunta alla luce della protologia e dell'escatologia nelle opere di Maria Valtorta - Alfredo Sturli
  – 1988 - Université pontificale de théologie, Marianum, Rome.         
   
  * (it) La mistica femminile in étà contemporanea. La vicenda e gli scritti di Maria Valtorta - Gianna
  Galzignato – 1993 - Faculté de lettres et de
  philosophie, Padoue.           
   
  * (it) Valenza
  formativa del dolore in Maria Valtorta - Tiziana Ferrari – 2005 -
  Faculté de lettres et de philosophie de Cassino, Frosinone.     
   
  * (es) La immolacion
  como la clave de comprension
  y el nexo de union entre teologie
  y vida mistica en las obras
  de Maria Valtorta - Rubén Pineda
  Esteban – 2010 - Faculté de théologie, Burgos. 
  Autres
  travaux
  Ne sont indiqués
  que les œuvres disponibles en français.  
   
  * La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria
  Valtorta – P. Gabriel M. Roschini O.S.M. – 1973 - Éditions Centro
  Editoriale Valtortiano  - ISBN
  2-920285-01-7. Analyse par un mariologue reconnu,
  fondateur de la faculté pontificale de théologie "Marianum" de
  Rome.           
   
  * Maria Valtorta, qui es-tu ? -
  Jean Aulagnier - 1992 - Éditions Résiac – ISBN
  2-85268-219-2. Les raisons qui poussent l'auteur à croire dans l'œuvre de
  Maria Valtorta. Annexes sur Marie d'Ágreda et Anne-Catherine Emmerich.            
   
  * Avec Jésus au jour le jour – Jean
  Aulagnier – 1994 – Éditions Résiac – ISBN
  2-85268-253-2. Reconstitution pas-à-pas, à la lueur des données de
  calendrier, de l'agenda de Jésus dans l'œuvre de Maria Valtorta.          
   
  * Padre Pio et Maria Valtorta - Emilio
  Pisani – 2000 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-073-4.
  Courte biographie de Padre Pio en liaison avec la vie de Maria Valtorta et
  tout ce qui les réunit.    
   
  * Valtorta et Ferri – recueil de
  447 illustrations couleurs ou bichromie - 2006 - Éditions Centro Editoriale
  Valtortiano – ISBN 88-7987-134-X - Lorenzo Ferri (1902-1975), peintre et
  sculpteur était un spécialiste de l'art sacré et du Saint Suaire. Il a
  travaillé avec Maria Valtorta sur ces illustrations, mais toutes n'ont pas pu
  être validées par elle.            
   
  * La vie de la Vierge Marie d'après les
  révélations des mystiques, que faut-il en penser ? - René Laurentin
  / François-Michel Debroise – 2011 – Editions Plon / Presses de la renaissance
  – ISBN 978-2-7509-0653-5. Étude comparative des révélations de huit mystiques
  dont Marie d’Ágreda, A.C. Emmerich et Maria Valtorta.   
   
  * L´énigme Valtorta - Jean-François
  Lavère - 2012 - Éditions Rassemblement à Son Image – ISBN 978-2-36463-025-3 -
  Bilan de dix ans de recherches, cette étude révèle l’immense érudition
  contenue dans l’évangile tel qu’il m’a été révélé de Maria Valtorta.      
   
  * Dictionnaire des personnages de
  l'Évangile selon Maria Valtorta - René Laurentin / François-Michel
  Debroise / Jean-François Lavère - 2012 - Éditions Salvator – ISBN
  978-2-7067-0961-6 - Ce dictionnaire confronte les descriptifs des 750
  personnages des écrits de la mystique Maria Valtorta aux données de
  l'Évangile et aux connaissances historiques les concernant.   
   
  * Les lois de l’univers divin –
  Jean-Marcel Gaudreault – 2013 - Éditions Lumières nouvelles – ISBN
  978-2-9813500-0-8. La théorie évolutionniste passée à la critique des données
  scientifiques et des écrits spirituels dont ceux de Maria Valtorta.             
   
  * Saint Martial, apôtre des Gaules et de l’Aquitaine – David Gasseling – 2013 - Éditions Rassemblement à Son Image –
  ISBN|978-2-36463-107-6. La vie de saint Martial d’après les visions de Maria
  Valtorta et les traditions limousines.     
   
  * L´énigme Valtorta vol 2 -
  Jean-François Lavère - 2014 - Éditions Rassemblement à Son Image –
  ISBN|978-2-36463-186-1. L’auteur démontre que les fondements exégétiques des
  visions de Maria Valtorta restaurent scientifiquement "la simplicité
  évangélique" de l'Évangile.   
   
  * La Vierge des derniers temps -
  René Laurentin / François-Michel Debroise - 2014 - Éditions Salvator – ISBN
  978 2 7067 11510 - La Vierge des derniers temps prophétisée par Grignion de
  Montfort (1673-1716), annonce le siècle de Marie. Ce sera le prélude, selon
  lui, à un déluge du pur amour. Cette nouvelle pentecôte assurera le règne du
  Christ dans le cœur de tous les croyants et verra se lever les apôtres des
  derniers temps. Maria Valtorta actualise ces prédictions.       
   
  * Maria Valtorta et l'Eglise -
  François-Michel Debroise - 2015 - Éditions Rassemblement à Son Image – ISBN 978-2-36463-071-0.
  Quelle attitude avoir envers les visions et dictées de Maria Valtorta ?   
   
  * Maria Valtorta, visionnaire et
  mystique pour notre temps - François-Michel Debroise - 2016 - Éditions
  Maria Valtorta – ISBN 978-2-36463-459-6. Historique de l’œuvre de Maria
  Valtorta, sa valeur théologique, exégétique, mystique et prophétique. Les
  mérites de Maria Valtorta.      
   
  * Dictionnaire géographique de
  l'Évangile d'après Maria Valtorta - Jean-François Lavère - 2017 -
  Éditions Maria Valtorta – ISBN 978-2-36463-511-1. Notices de  220 villages, 50 édifices antiques et de
  110 sites géographiques décrits dans l’œuvre de Maria Valtorta comparés aux
  données historiques, géographiques, archéologiques et topographiques. 
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  Site
  officiel du CEV [archive] 
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  Fondazione Maria Valtorta CEV [archive] 
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  Fondazione Maria Valtorta
  (Viareggio) [archive] 
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  Association Maria Valtorta [archive] 
    
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  Fiche mise à
  jour le 14/02/2018. 
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