I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\MV15ANS.gif

L'œuvre de Maria Valtorta
© Fondation héritière de Maria Valtorta.

Se repérer

Consulter la Bible en ligne

Aller sur le forum

Qui sommes-nous ?

   I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\IntroAccueil.gif   I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\IntroOeuvre.gif   I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\IntroValtorta.gif   I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\IntroThemes.gif   I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\IntroBoutique.gif

   I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\TableMatieres.gif


Texte original.


Les phases successives de la Création.

C’est par le Christ que les hommes ont la vie.

 


TEXTE DE L’ÉPÎTRE.

Chapitre 5 - Premier fruit de la justification : la paix avec Dieu, la certitude du Ciel.
1 Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, 2 à qui nous devons d'avoir, par la foi, l'accès à cette grâce dans laquelle nous demeurons fermes, et de nous glorifier dans l'espérance de la gloire de Dieu. 3 Bien plus, nous nous glorifions même dans les tribulations, en sachant comment la tribulation produit la patience, 4 la patience l'expérience, l'expérience l'espérance. 5 Or l'espérance ne trompe point, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par l'Esprit Saint qui nous a été donné.

 
















 



Les lois de l’Univers divin, Jean-Marcel Gaudreault.


Accueil >> Plan du site >> Index des leçons sur l'épître de saint Paul aux Romains.

Traduction automatique de cette fiche :
  -  -

Leçons sur l'épître de Saint Paul aux Romains.
Leçon n°15.
Commentaires de Romains 5, 1-5 (en colonne à gauche) .

Le jeudi 12 février 1948.

91/92> Le Très-Divin Auteur dit :     

 Dans la leçon précédente
[1], je t'ai parlé de la création, des journées successives de la création, et aussi du Christ : don infini que Dieu, le Très-Bon, avait déjà réservé à l'homme avant même que celui-ci ne tombe dans le péché.        

Au début de ces leçons sur l'épître paulinienne, je t'ai dit que Jésus-Christ "Fils de Dieu, issu de la lignée de David selon la chair
[2], prouvé Fils de Dieu par sa propre vertu, par les déclarations de l'esprit de sanctification, et par sa résurrection d'entre les morts", a témoigné de sa nature divine par de nombreux prodiges.       

Par eux il est démontré que même après son incarnation il demeure Dieu à jamais, jamais coupé de la très sainte Trinité, Dieu unique. Je t'ai dit comment cela est prouvé par les témoignages de Dieu le Père, par sa résurrection d'entre les morts, par la vertu que, librement, il a voulue parfaite, et par la volonté de justice et d'amour à l'égard de son Auteur Très-Saint.                     

 Je reprends ces thèmes pour te faire contempler le Christ, ton salut.          

J'ai dit que Dieu créa l'Univers à partir du chaos
. Il le créa en établissant un ordre parfait au sein des matières et des éléments chaotiques, et en formant les mondes, les saisons, les créatures et les éléments qui existent depuis des millions de siècles[3]. Mais rares sont ceux qui, en considérant l'Univers, savent découvrir à quel point il ressemble à une échelle; à un chant qui, de note en note, monte toujours plus haut, jusqu'à atteindre la note parfaite et sublime. Peu réalisent que cette création est formée d'une suite non interrompue d'actes procréateurs qui sont orientés vers des formes toujours plus complètes et parfaites, jusqu'à la complétude parfaite[4].      

 Observe : d'abord, à partir des molécules solides, des vapeurs et des feux désordonnés qui forment la nébuleuse originaire, on assiste à la formation de la Terre et des eaux. Des minéraux sont renfermés dans la Terre et dilués dans les eaux destinées à former les mers, les lacs, les sources et les rivières à venir, tandis que les molécules solides forment une croûte qui devient comme le creuset pour les feux, les soufres et les métaux qui bouillonnent à l'intérieur, et en même temps sert de lit aux eaux qui sont en surface. L'atmosphère se purifie quelque peu, partiellement dégagée de ce qui rendait pesante la nébuleuse originaire, et voilà la Terre qui apparaît, lancée sur sa trajectoire. Une Terre encore nue, stérile, muette, traverse en silence les espaces sidéraux, avec ses montagnes aux crêtes chauves, qui se détachent à peine de la surface liquide et sombre des futurs bassins.  

Haut de page.       

93>  Après quoi, voici la lumière. Pas encore la lumière du soleil, de la lune, ou des étoiles. Le soleil, la lune et les étoiles sont des créatures plus jeunes que le globe terrestre. À leur création le ciel, c'est-à-dire "l'air-élément", fut débarrassé de tout ce qui restait du nuage primordial. Les astres et les planètes resplendirent, en donnant au globe terrestre avec leur splendeur quantité d'éléments vitaux.          

Mais la lumière existait déjà, et bien avant eux. Une lumière indépendante de toute source autre que celle du vouloir de Dieu lui-même. Une lumière mystérieuse, dont les anges seuls purent contempler les mystérieuses opérations en faveur du globe terrestre. Parce que rien de ce que Dieu a créé n'est inutile; aucune chose n'a été créée sans une raison d'ordre parfait. Ainsi donc, si la lumière est venue avant les astres et les planètes, cela signifie que la Perfection a fixé cet ordre créatif pour des raisons utiles et raisonnables. Le soleil, la lune et les étoiles sont venus par la suite.    

 Une fois que l'élément "air" fut vidé de ses gaz nocifs et enrichi de ceux qui sont utiles à la vie, ce même air favorisa la survie des nouvelles créatures : les végétaux. Voilà des créatures encore esclaves dans leurs racines, mais qui déjà possèdent le mouvement dans leurs branches; des créatures qui, une fois créées, sont en mesure de se reproduire grâce à leurs propres éléments, une chose que la poussière de la Terre, les minéraux et les eaux ne peuvent pas faire. Ce que ces trois choses dernières peuvent faire, c'est changer d'apparence ou de nature, mais elles ne peuvent sûrement pas se reproduire. Sous terre, le bois peut devenir charbon, les charbons peuvent devenir des pierres précieuses, les feux peuvent se changer en soufre, l'eau peut devenir vapeur, la vapeur peut redevenir de l'eau...; tout cela peut se transformer, ou se consumer, mais non se reproduire.   

Se reproduire: le monde végétal le peut. Les végétaux ont la sève et les organes de reproduction qui les rendent capables de féconder ou d'être fécondés, mais la liberté de vouloir, ne serait-ce que de façon instinctive, ils ne l'ont pas. Ils sont soumis à des lois climatiques, obéissent aux saisons, se plient au vouloir des éléments, ou à celui de l'homme. Le palmier ne pourrait pas vivre et donner ses fruits en territoire gelé, ni le lichen polaire décorer les rochers des régions torrides. Une plante ne pourrait fleurir hors saison, ni échapper au cyclone, à l'incendie, ou à la hache. Et cependant, cette vie végétative est déjà un prodige d'avancement sur le chemin qui monte du chaos vers la perfection de la Création.         

Haut de page.       

94>  L'ascension se poursuit avec la vie du royaume animal. Cette forme de vie, chez les êtres qui en font partie, peut s'exprimer par le mouvement, l'instinct et l'appétit volitif. Ici aussi il y a un ordre progressif. Déjà l'animal est libre de choisir sa tanière et sa compagne. Il peut fuir devant le piège que l'homme ou les éléments naturels lui opposent. Il possède un instinct, et même plus qu'un instinct, un magnétisme propre à lui seul qui l'avertit de l'approche d'un cataclysme et l'oriente dans la recherche d'un abri. Il dispose d'une capacité rudimentaire de penser et de décider sur comment se nourrir, comment se protéger, comment attaquer, comment se laisser apprivoiser par l'homme et comment demeurer son ami.           

Les animaux possèdent les perfections créatrices de la lymphe vitale (le sang), mais chez eux aussi, comme chez les plantes, on trouve les organes de la reproduction et les perfections créatrices déjà présentes dans la poussière, la pierre, et les minéraux. Que vous disent les scientifiques à propos du squelette, du sang, de la mœlle et des organes ? Ne vous enseignent-ils pas qu'ils sont constitués de substances appelées minérales, les mêmes, au fond, que celles qui composent la Terre que l'homme habite et que peuplent les animaux ?

On peut donc dire que dans le règne animal se retrouve, mais perfectionné, tout ce qui compose les règnes inférieurs, c'est-à-dire les règnes minéral et végétal. Et l'échelle monte. La note va plus haut et se fait plus pure. Elle devient de plus en plus complète, de plus en plus apte à glorifier le Très-Haut.

 Et voilà l'homme. L'homme qu'aucun des trois règnes qui précèdent ne pourrait contenir, car le premier n'a pas la lymphe, le deuxième n'a pas le mouvement et le troisième n'a pas la raison. Chez l'homme s'ajoute le quatrième royaume, celui des créatures douées de parole, d'intelligence et de raison. Une raison capable de maîtriser les instincts. Une intelligence capable d'ouvrir son chemin vers des compréhensions et des visions très supérieures et qui parfois dépassent à l’infini les capacités qu'ont les animaux d'évaluer leur bien matériel.          

Haut de page.       

95> Une parole qui le rend apte à exprimer ses besoins et ses mouvements affectifs, et à saisir ceux des autres. Une parole qui lui permet aussi et surtout de rendre gloire à Dieu-Créateur, de le prier, ou bien d'évangéliser ceux qui l'ignorent.        

Chez l'homme sont présents les règnes minéral, végétal, animal et humain, et aussi, perfection dans la perfection, le royaume spirituel.       

Voilà l'échelle qui à partir du désordre chaotique monte jusqu'au royaume surnaturel, en passant par le royaume naturel. Et à la créature naturelle en qui se résument, mais aussi se perfectionnent, tous les éléments et caractères qui forment les autres créations, Dieu inspire son souffle. Médite bien: Dieu inspire son souffle à une créature faite avec de la boue, c'est-à-dire avec de la poussière. Une poussière dans laquelle se trouvent mélangés des sels minéraux combinés avec l'élément eau; une poussière constituée de chaleur (élément feu), respiration (élément air), perception visuelle, et perception mentale (élément lumière); une poussière formée de sang, de sérum, de glandes, et d'organes reproducteurs (lymphe); une poussière fournie d'instincts, de pensées, de mouvement, de liberté et de volonté. C'est donc à cette poussière que Dieu transmet son souffle, c'est-à-dire "le souffle de la Vie"
[5].           

L'âme : partie immortelle comme tout ce qui est donné directement par l'Éternel ; l'esprit qui ne meurt pas, l'esprit libre de toutes les lois temporelles, de toute maladie, de tout cataclysme météorologique et des dangers provenant des hommes; esprit créé pour retourner à sa Source, la posséder et en jouir éternellement; esprit que l'homme seul, par sa volonté, peut rendre esclave d'un roi cruel; mais qui de par la volonté divine et de par sa propre nature ne connaît aucune servitude, mais uniquement la douceur de l'amour filial qui est la destinée sublime à laquelle les héritiers du Royaume de Dieu sont appelés.          

Certains nient l'existence de l'âme et son immortalité (immortalité parce que l'âme est création, infusion, partie de Dieu, l'Éternel), et soutiennent que l'homme possède l'intelligence, le génie, la liberté, la volonté et la capacité de ravir à la Création ses forces et ses secrets, seulement parce qu'il est "l'homme", c'est-à-dire l'être qui a évolué par lui-même jusqu'à la perfection, et non parce qu'il a une âme.      

Haut de page.       

96> Ces personnes ressemblent à celles qui s'entêteraient à penser que l'œuvre réussie d'un artiste (sculpteur ou peintre), puisse posséder la vie et la vision à cause du parfait réalisme avec lequel elle a été façonnée ou peinte.        

L'animal lui aussi possède la vie et la vision. Il a même une ébauche d'intelligence, quoique rudimentaire. Dans l'animal apprivoisé depuis des siècles par l'homme, cette intelligence rudimentaire s'est développée davantage et dans les comportements avec les humains elle est plus proche de la raison que de l'instinct, à l'encontre des animaux sauvages, chez qui l'instinct prédomine. Mais aucun animal, si apprivoisé, aimé et instruit qu'on le veuille, ne peut avoir cette puissance d'intelligence et de capacités que possède l'homme.   

C'est l'âme qui distingue l'homme de l'animal. C'est l'âme qui divinise l'homme et le place au-dessus de tous les êtres créés; qui le transforme en un dieu-roi capable de dominer, maîtriser, comprendre, instruire et pourvoir. C'est par l'âme qu'il participe à la sphère du divin; autant par son origine que par ses destins futurs.     

Illuminée par sa divine origine, l'âme sait, l'âme veut, l'âme peut avec une force qui est déjà celle d'un demi-dieu. Et Dieu favorise cette force. Il la soutient puissamment et l'aide dans la mesure où l'âme s'élève en justice, et l'homme se divinise par une vie de justice.  

C'est l'âme qui donne à l'homme le droit de dire à Dieu : "Mon Père".

C'est l'âme qui transforme l'homme en un temple vivant de l'Esprit de Dieu.

C'est l'âme qui fait de la création de l'homme l'œuvre la plus parfaite de l'Univers.  

On pourrait dire alors : "Voilà qu'avec l'homme, avec l'homme juste, on est parvenu au plus haut degré de l'échelle, à la note la plus haute de ce divin cantique, à la perfection de la perfection créative". Non. Tout cela est création d'un univers sensible, procession d'une procession, association entre création naturelle et création surnaturelle. Mais ce n'est pas encore la Perfection.

Haut de page.       

97>  La Perfection, c'est Jésus. La Perfection, c'est le Christ, l'Homme-Dieu. La Perfection, c'est le Fils de Dieu et de l'Homme, Celui qui pour la Divinité n'a eu que le Père, et pour l'Humanité n'a eu que la Mère. Celui qui, dans un vêtement de chair, a renfermé deux Natures. Celui qui, dans sa chaire d'homme, a fusionné ces deux Natures, qui restent toujours séparées par la distance infinie qui existe entre la perfection de l'homme, même le plus saint, et la perfection de Dieu.    

Seulement Jésus possède la nature divine et la nature humaine étroitement associées pour constituer un seul Christ, et sans pour cela être confondues. En lui, Fils de l'homme, est représenté toute la création sensible, comme en chaque homme. En lui est représenté l'univers suprasensible : la nature spirituelle. En lui enfin est représenté l'Incréé, l'Éternel: Dieu, celui qui est sans avoir jamais été engendré, Celui qui engendre sans autre opération que celle de son amour.        

Le Christ : Celui qui divinise la matière et la glorifie. Celui qui restitue la dignité perdue aux Adam de tous les temps. Le Christ : maillon de la chaîne qui joint de nouveau ce qui était brisé, l'Agneau qui virginise à nouveau dans l'homme la pureté de l'innocence, la Grâce. De par sa nature divine il a tout pouvoir; de par sa charité humano-divine il peut tout; de par sa volonté il peut tout, puisqu'il donne tout.      

 Celui qui sait contempler le Christ possède la Sagesse. Car le Christ est non seulement Perfection divine mais aussi perfection humaine. Celui qui le contemple avec sagesse voit l'admirable personne du Fils de l'Homme, en qui se trouve la plénitude de la sainteté.      

Mais la sagesse qui découle de cette contemplation du Christ, et l'imitation qui surgit naturellement en celui qui sait le contempler en vérité, éclairent l'âme tellement que celle-ci s'exclame, ravie d'amour et de connaissance: "Voilà le Dieu vivant, l'Emmanuel. Voilà le mystère vivant de la Charité de Dieu!". C'est la compréhension du mystère du Christ, sommaire du triple Amour, témoignage de l'amour de Dieu envers les hommes.     

Haut de page.       

98> Alors, voilà que l'ineffable mystère de la Conception virginale s'illumine des feux incandescents de l'Amour. L'âme du contemplateur, inondée par cette Lumière qui est Feu, par ce Feu qui est Sagesse, par cette Sagesse qui est Lumière, non seulement croit par sa foi, mais croit aussi parce qu'elle voit. Voilà expliquée la parole de Jean, le séraphique apôtre de Bethsaïde : "Celui qui aime est né de Dieu et connaît Dieu (...). Celui qui croit en Jésus-Christ est né de Dieu"[6]. En vérité, seulement celui qui aime avec son être tout entier peut connaître Dieu et l'ineffable mystère de l'Incarnation du Verbe.

 "Premier-né de toutes les créatures, image du Dieu invisible"
[7], c'est ainsi que Paul le définit ; "l'Agneau immaculé et sans tache, prédestiné depuis la création du monde à faire des hommes des participants de la divine nature" a écrit Pierre[8].    

"Vainqueur, Roi des rois, Seigneur des seigneurs"
[9] le proclame Jean. Nouvel Adam, conçu non par le vouloir d'homme mais par l'intervention directe de l'Esprit du Seigneur Éternel. Déposé en Marie, paradis vivant de la Sainte Trinité qui y trouve ses délices, l'amour de Dieu s'incarna, le Verbe aimé du Père prit chair pour être offert comme victime pour le salut du monde.         

Et à côté, c'est la Vierge qui fut la royale et très pure prêtresse : ardente de charité plus pure et forte que jamais créature, née de l'homme, n'ait connu. Elle accepta ce Fils, et l'offrit au nom de tous les hommes. Ses paroles: "Voici la servante du Seigneur; qu'il me soit fait comme veut sa Parole"
[10], sont le pendant des paroles divines: "Que la lumière soit"[11], mais elles se rapportent à une création plus vraie que la création première. Elles sont le point de départ de la "recréation" de l'homme, qui devient fils de Dieu et héritier du Royaume des Cieux.

     I:\Maria Valtorta\SiteWeb\ValtortaWeb\Images\TableMatieres.gif

C'est donc par le Christ que les hommes ont la Vie. C'est par le Fils de Dieu, Fils par nature divine, Fils par perfection humaine, que les hommes reçoivent la Grâce. C'est par Jésus, et à travers son imitation, que les hommes, soutenus par la Grâce, partageront la gloire réservée aux fils de Dieu. Enfin, par la Seconde Personne, par son obéissance parfaite à la Personne Première, les hommes reçoivent l'Esprit Saint, c'est-à-dire le Maître, la Force, la Charité, la Sagesse.         

Haut de page
.       

Fiche mise à jour le
03/12/2020.

 



[1] Leçon n°14 du 2 février, p. 87-88.

[2] Leçon n°1, p. 41 et suivantes, commentant Romains 1,3-4.

[3] Le monde est né brusquement (théorie du Big bang) il y a 13,7 milliards d’année. Notre planète est apparue beaucoup plus tard : 4.54 milliards d’années. La vie primitive est encore plus tardive : 3,5 (3,8) milliards d’années. La vie des organismes à partir desquels on bâtit «l’évolution» apparaît il y a 0,6 milliards d’années. L’hominidé date de 0,2 milliards d’années.

[4] Il est étonnant de constater que le récit biblique retrace avec exactitude ce crescendo de la Création que vient confirmer la science. Cette similitude ne peut provenir d’une connaissance humaine étrangère aux auteurs de la Bible, mais bien d’une révélation. La Bible parle de "jours" là où la science parle de périodes, mais nul, sauf l’intégrisme des deux bords, ne donne aux "jours" une signification de 24 heures.

[5] Genèse 2, 7.

[6] 1 Jean 4, 7, 5, 1.

[7] Colossiens 1, 15.

[8] 1 Pierre 1, 18-21.

[9] Apocalypse 19, 16.

[10] Luc 1, 38.

[11] Genèse 1, 3.