Maria Valtorta en 1943

Maria Valtorta
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En effet, cette censure d’un autre temps n’a pas empêché la francophonie d’être, en 2017, le premier lectorat de cette œuvre prisée des papes et des saints. Elle est diffusée sans interruption depuis 60 ans à millions d’exemplaires et en 27 langues.

François-Michel Debroise.
31 janvier 2018.

 

Maria Valtorta est une mystique catholique italienne du tiers ordre des Servites de Marie, née à Caserte, en Campanie, le 14 mars 1897 et décédée le 12 octobre 1961 à Viareggio en Toscane.        

Elle est notamment l'auteur d'un livre en plusieurs volumes, L'Évangile tel qu'il m'a été révélé, qui évoque des scènes de la vie du Christ qu'elle dit recevoir par visions.           

Selon les trois religieux qui furent reçus en audience par Pie XII le 26 février 1948[1], la publication de cette vie de Jésus, qu’il aurait personnellement lue, aurait été encouragée par le pape en ces termes : « Publiez l’œuvre telle quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront, comprendront. » [2]  

Cependant, après la mort du Souverain-Pontife, l’ouvrage fut mis à l’Index par le Saint-Office le 16 décembre 1959 pour défaut d’imprimatur[3].   

En 1992, à l'initiative du cardinal Ratzinger la Conférence des évêques italiens demande à l'éditeur de Maria Valtorta « qu'à l'occasion d'une éventuelle réimpression des volumes, il soit clairement dit, dans les premières pages, que les visions et dictées qu'ils relatent ne peuvent pas être considérées comme d'origine surnaturelle, mais doivent être considérées simplement comme les formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus. »[4]

Selon son secrétaire particulier, Jean-Paul II lisait la vie de Jésus de Maria Valtorta
[5]. Mère Teresa de Calcutta l’emmenait dans ses voyages[6].

Sommaire

1 Biographie

2 L'œuvre de Maria Valtorta

3 Publication et mise à l'index

4 Le commentaire de L'Osservatore Romano

5 Depuis la mise à l'index

5.1 Chronologie des faits

5.2 Selon l'éditeur

5.3 Selon les travaux publiés

6 Bibliographie.

6.1 Œuvres de Maria Valtorta

6.2 Publications sur Maria Valtorta

6.3 Liens externes

Biographie [haut de page]

Sauf indication contraire, les informations de cette section sont extraites de l'autobiographie de Maria Valtorta.

Maria Valtorta est née à Caserte, au nord de Naples, dans un milieu relativement modeste, d'un père sous-officier de cavalerie pour qui elle avait une grande et profonde affection, et d'une enseignante de français, qu'elle décrit comme une femme très autoritaire qui exigeait l'exclusivité de l'attention de sa fille. La famille se déplace suivant les affectations du père.     

Pendant la Première Guerre mondiale elle s'enrôle comme infirmière à l’hôpital militaire de 
Florence, ville où elle réside longuement. Selon Maria Valtorta, par deux fois des prétendants sont évincés par sa mère possessive. Le 17 mars 1920, elle se promène avec sa mère quand « un petit délinquant, fils d’un communiste et de notre modiste » la frappe violemment dans le dos avec une barre métallique en criant « À bas les riches et les militaires ! »[7]. Elle doit garder le lit durant trois mois et s’en remet partiellement par un séjour de deux ans à Reggio de Calabre auprès de cousins.   

En 1924, elle s’établit définitivement avec ses parents à Viareggio, sur la côte toscane. C’est là que, le 28 janvier 1925, suivant l’exemple de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, elle s’offre comme victime à l’Amour miséricordieux. Une offrande qu’elle renouvela tous les jours par la suite
[8]. Elle s’engage dans sa paroisse comme déléguée de l’Action catholique féminine, mais ses souffrances augmentent. Sa santé se détériore progressivement. Le 1er avril 1934, dimanche de Pâques, elle demeure définitivement clouée sur son lit.   

À partir de 1943 jusqu'en 1950, et dans une moindre mesure jusqu'en 1953, Maria Valtorta écrit environ quinze mille pages de cahiers. Les deux tiers à peu près de la production littéraire de Maria Valtorta concernent l’œuvre monumentale de la vie de Jésus qu'elle affirmait connaître à travers des visions.      

Selon le Père Roschini, dans une lettre du 18 avril 1949, Maria Valtorta confie à une religieuse avoir complété ses offrandes précédentes à Dieu par celle de son intelligence et la satisfaction de voir son œuvre approuvée. De fait, à partir de 1956 se manifesta en elle un dépérissement mental qui se développa jusqu’à sa mort[9].

Elle meurt le 12 octobre 1961 après avoir vu, vingt mois avant sa mort, la publication de l'œuvre qui, selon ce qu'elle disait des directives de Jésus, devait être anonyme[10], mise à l'Index.     

Le 2 juillet 1973, ses restes sont transférés de Viareggio à la Basilique de la Santissima Annunziata de Florence, lieu fondateur de l’Ordre des Servites de Marie dont elle était tertiaire[11].   

Son épitaphe rappelle ses trois titres de gloire : Membre du Tiers ordre des Servites de Marie (Tertii ordinis servorum Sanctae Maria sodalis) – Hostie agréable à Dieu (Hostia Deo grata) – Écrivaine mystique (Divinarum rerum scriptrix)[12].    

Le 15 octobre 2011, à l’invitation des Servites de Marie et de la Fondation Maria Valtorta CEV, le cinquantième anniversaire de sa mort est célébré au grand cloître de la Santissima Annunziata où se trouve la tombe de Maria Valtorta[13]. La cérémonie est présidée par un nonce apostolique, Mgr Pier Giacomo De Nicolò, archevêque de Martana
[14].  

Le site des Servites de Marie compte Maria Valtorta au rang des « Serviteurs de Dieu
[15] » titre réservé aux personnes pour laquelle une cause de béatification a été introduite en raison de leur vie de sainteté[16]. Ils avaient en effet introduit sa cause auprès de Mgr Ennio Antonelli, archevêque de Florence. Celui-ci leur avait répondu, le 3 octobre 2002, que cela n’était pas opportun « pour le moment ».

 

L'œuvre de Maria Valtorta [haut de page]

Selon ce que rapporte son éditeur, Maria Valtorta a rempli 122 cahiers, soit près de 15 000 pages manuscrites, sans aucune rature[17], avec la description des visions et révélations qu'elle dit avoir reçues de Dieu entre 1943 et 1950 essentiellement. De ces 122 cahiers a d'abord été tirée, en 1956, l'œuvre principale, Le Poème de L'Homme-Dieu (Il poema dell'Uomo-Dio). La traduction française, en 10 volumes, ne reprend que le sous-titre initial : L'Évangile tel qu'il m'a été révélé. Ce titre est dû à la volonté expresse du premier traducteur[18] de l’œuvre en français. Il fut généralisé ultérieurement par l’éditeur.

Les autres écrits de Maria Valtorta se présentent comme des enseignements de
Jésus. Ils ont été édités dans l'ordre chronologique de leur rédaction et publiés en trois volumes : Les cahiers de 1943les cahiers de 1944 et les cahiers de 1945 à 1950. Son œuvre compte aussi une Autobiographie rédigée à la demande de son confesseur[19] , des Leçons sur l'épître de saint Paul aux Romains, et le Livre d'Azarias, commentaires des textes de la messe donnés, selon Maria Valtorta, par son ange gardien.       

Maria Valtorta assure rapporter ce qu'elle voit et entend. Selon l'éditeur, tout en gardant le lit et malgré ses souffrances
[20], elle écrivait de sa propre main et d'un seul jet, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit[21]. « Les seuls livres qu'elle pouvait consulter étaient la Bible et le Catéchisme de Pie X »[22].  

Maria Valtorta précise ce qu'elle appelle son « travail » : « écrire sous la dictée ou décrire ce qui se présente à moi. S'il s'agit de dictée et qu'elle se rapporte à un passage de la Bible, Jésus commence par me faire ouvrir le Livre au passage qu'Il veut expliquer. […] Si c'est la vision qui se présente, comme je l'ai dit, avec une image initiale qui est généralement le point culminant de la vision, et puis se déroule en suivant l'ordre […] je décris ce point, puis ce qui précède et ce qui suit »
[23].

 

Publication et mise à l'index [haut de page]

Le pape Pie XII a reçu en audience spéciale le père Romualdo Migliorini[24], confesseur de Maria Valtorta, et le père Corrado Berti[25], son confrère, accompagnés de leur prieur le père Andrea M. Cecchin[26]. L'Osservatore Romano du 27 février 1948 mentionne cette audience, mais n'en révèle pas la teneur comme d’usage.   

Selon L'Osservatore Romano en date du 6 janvier 1960 l’ouvrage aurait été examiné par le Saint-Office qui en aurait interdit la publication peu après l’audience. L’article mentionne en effet des souvenirs d’« il y a environ dix ans, alors que circulaient certains textes dactylographiés volumineux, qui contenaient de prétendues visions et révélations. On sait qu’alors l’autorité ecclésiastique compétente avait défendu l’impression de ces textes dactylographiés et avait ordonné qu’ils soient retirés de la circulation[27] ».

Cependant, depuis cette époque, on n’a jamais trouvé aucune trace écrite d’une telle interdiction ni dans les Actes officiels du Saint-Siège[28], avant la mise à l’Index de 1959, ni dans d’autres documents officiels ou officieux du Vatican. Son contenu, ses motivations et la date exacte demeurent inconnus.

Seule une attestation sous serment du père C. Berti relate une altercation avec deux commissaires du Saint-Office en 1949, sans préciser le mois[29]. L’un des commissaires impliqués, Mgr Giovanni Pepe, fut démis de ses fonctions en août 1952 par Pie XII pour avoir, sans son consentement, mis à l’Index des livres parlant du Padre Pio[30]. Selon les affirmations du père Berti, ce commissaire aurait tenté, en dehors de toutes procédures habituelles[31], de détruire l’œuvre de Maria Valtorta.         

Dans cette même attestation le Père Berti affirme sous serment avoir reçu de Pie XII, en conclusion de l’audience du 26 février 1948, un encouragement à publier l’œuvre de Maria Valtorta, dont il avait personnellement pris connaissance, en ces termes : « Publiez l’œuvre telle quelle, qui lira comprendra », termes notés par les trois témoins dès leur sortie de l’audience[32]. Pour Mgr Édouard Gagnon cet imprimatur devant témoins est parfaitement valide[33]. Pour Mgr René Laurentin, contemporain de cette période en tant qu’expert au concile Vatican II, l’encouragement de Pie XII est établi[34].  

Le Poème de Jésus, titre du premier volume, et Le Poème de l'Homme-Dieu, titre des trois volumes suivants, sont publiés à partir de 1956 par un imprimeur, Michele Pisani. Cet ensemble de textes sera publié en français sous le titre de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé.   

Le quatrième tome paraît en 1959, au début du pontificat de Jean XXIII. L'ouvrage est mis à l'Index le 16 décembre 1959 (avec publication du décret le mardi 5 janvier 1960) par le 
Saint-Office. Le décret de mise à l'Index, signé par le notaire Massala est commenté le lendemain 6 janvier 1960 par L'Osservatore Romano, l'organe de presse du Vatican[35].

 

Le commentaire de L'Osservatore Romano [haut de page]

Sous le titre « Une Vie de Jésus mal romancée », L’article [36] motive la mise à l’Index par le défaut d’imprimatur[37]. Motif disciplinaire, mais non théologique, qu’il réitère en fin d’article.      

Puis le rédacteur conteste la valeur littéraire des quelques 4 000 pages de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé. Il s'étonne des propos des éditeurs, qui comparent l’auteur à
Dante.        

Il justifie « cette espèce d'histoire romancée » par « la longueur des discours attribués à Jésus et à la très sainte Vierge; et les interminables dialogues entre de nombreux personnages qui peuplent ces pages. ». Il oppose les quatre Évangiles qui nous présentent « un Jésus humble et réservé » à celui de cette œuvre « loquace au maximum, presque sur un ton publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu, et à donner des leçons de théologie dans les mêmes termes que ceux qu'emploierait un professeur de nos jours. »         

De même, il oppose « l'humilité et le silence de la Mère de Jésus », que l'on trouve dans l’Évangile, à l'ouvrage de Maria Valtorta, où « la Très Sainte Vierge a la faconde d'un propagandiste d'aujourd'hui » et où elle apparaît omniprésente, « toujours prête à donner des leçons de théologie mariale qui suivent les développements les plus récents des spécialistes actuels en la matière ».     

Il note que « les spécialistes des études bibliques y trouveront certainement beaucoup d’erreurs historiques, géographiques et autres. » mais il n’en cite aucun exemple.          

« Au milieu d’un si grand étalage de connaissances théologiques », il note « quelques perles qui ne brillent certes pas par leur orthodoxie catholique ». Il en énumère quatre.

- « Ici et là s’exprime, au sujet du péché d’Adam et Ève, une opinion plutôt extravagante et inexacte », mais il ne précise ni quoi, ni où.       

- « Marie peut-être appelée seconde-née du Père ». Selon le commentateur, les précisions fournies évitent l’hérésie, mais laisse l’impression qu’on veut fonder « une nouvelle mariologie dépassant les bornes théologiques ». Il venait de reconnaître pourtant que la théologie mariale suivait « 
les développements les plus récents des spécialistes actuels en la matière ».

- Une affirmation « hermétique et plus confuse que jamais » sur la Vierge Marie, le Paradis et la Trinité.

- Une « affirmation étrange et imprécise » : « Pendant le temps que tu resteras sur la Terre, c'est toi qui seconderas Pierre comme hiérarchie ecclésiastique. »          

Dans les dernières pages du quatrième et dernier volume, le commentateur remarque : « L'auteur se révèle… une femme et écrit qu'elle a été témoin de tout le temps messianique, et qu'elle s'appelle Marie (Valtorta). » Le patronyme est déduit par le commentateur mais non mentionné dans le texte original.

 

Depuis la mise à l'index [haut de page]

Chronologie des faits [haut de page]

En 1961, commence à sortir une seconde édition qui allait comporter 10 volumes. L'Osservatore Romano du 1er décembre 1961 publie un article étendant à la seconde édition la prohibition de la première[38]. Le motif demeure le défaut d’imprimatur. La décision exposée ne se réfère à aucune autorité de l’Église comme il est pourtant d’usage. Le journal est en effet un organe autorisé, mais « n’a pas de valeur officielle » intrinsèque[39]          

Le 14 juin 1966, l'Index est aboli : il « n’a plus force de loi ecclésiastique avec les censures qui y sont attachées »[40].            

Le cardinal Alfredo Ottaviani, désormais Pro-préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, précise que si la dissolution de l'Index lève la prohibition sur tous les ouvrages concernés, ce que confirme le décret d’interprétation du 15 novembre 1966
[41], l'Index n'en garde pas moins sa force morale « d’avertissement » à la conscience, et non plus d’interdiction.          

« C’est pourquoi l’Église fait confiance à la conscience mûre des fidèles » affirme la notification qui délègue aux évêques et à leurs conférences, le soin d’éclairer les fidèles.        

En 1973, Le Père Gabriele M. Roschini[42] publie La Vierge Marie dans l’œuvre de Maria Valtorta[43]. Il déclare en préambule qu’« aucun autre écrit marial, pas même la somme de tous ceux que j'ai lus et étudiés, n'avait été en mesure de me donner sur Marie, chef-d'œuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi complète, aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime, que les écrits de Maria Valtorta. ». Il fait parvenir un exemplaire de son ouvrage à Paul VI. Le 14 janvier 1974 la Secrétairerie d’État, la plus haute instance du Vatican, le remercie au nom du Souverain-Pontife pour « le précieux travail » en exprimant l'espoir que ses efforts recueillent des fruits spirituels abondants[44].       

Le 19 mars 1975, l’imprimatur, qui avait motivé la mise à l’Index de l’œuvre de Maria Valtorta, est réformé. Désormais les œuvres telles que la sienne échappent à l’obligation d’imprimatur[45]. L’autorité des évêques et de leurs conférences est confirmée.  

Le 19 septembre 1975, Mgr Ottavio Michelini, un mystique italien, aurait reçu de Jésus cette affirmation : « J'ai dicté à Maria Valtorta, âme-victime, une œuvre merveilleuse. De cette œuvre, Je suis l'auteur.
[46] »  

Le 31 janvier 1985 dans un courrier adressé au cardinal Siri, archevêque de Gênes, le cardinal Joseph Ratzinger, Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi depuis le 25 novembre 1981, estime que leur diffusion ne serait pas « opportune »
[47] en raison « des dommages qu'une telle publication peut causer aux fidèles les plus naïfs[48] ». Mais il laisse le cardinal Siri libre de la réponse à apporter.           

En mars 1992, sept évêques de l’Inde, dont quatre archevêques et deux Pères conciliaires de l’
Église catholique syro-malabare, saluent la sortie de l’œuvre de Maria Valtorta en langue locale du sud, le malayalam[49].  

Le 6 mai 1992, Mgr Dionigi Tettamanzi[50], secrétaire général de la Conférence épiscopale italienne, demande à l'éditeur de l'ouvrage « qu'à l'occasion d'une éventuelle réimpression des volumes, il soit clairement dit, dans les premières pages, que les visions et dictées qu'ils relatent ne peuvent pas être considérées comme d'origine surnaturelle, mais doivent être considérées simplement comme les formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus.[51] »          

François-Michel Debroise note que la formule employée n’est pas l’affirmation « ne sont pas d’origine surnaturelle », mais la directive « ne doivent pas être considérées comme ». Formule qu’il juge conforme[52] aux usages de l’Église pour laquelle les révélations privées ne sont crédibles que de « simple foi humaine et non divine »[53].     

En août 1992, le père Roman Danylak de l'Église grecque-catholique ukrainienne du Canada, théologien et docteur en droit canonique, publie un long article dans lequel il réfute les critiques formulées, à l’époque, à l’encontre de l’œuvre de Maria Valtorta et démontre son point de vue favorable à l’œuvre[54].

Le 11 octobre 1992, le
Catéchisme de l’Église catholique confirme que les révélations privées n’appartiennent pas au dépôt de la foi et renouvèle sa confiance dans le jugement des fidèles. Le rôle de ces révélations privées « n’est pas d’améliorer ou de compléter la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire. Guidé par le Magistère de l’Église, le sens des fidèles sait discerner et accueillir ce qui dans ces révélations constitue un appel authentique du Christ ou de ses saints à l’Église.[55] »        

Le 11 mai 1993, Mgr Raymond Boland, évêque de Birmingham en
Alabama, répond à une question de Terry Colafrancesco, fondateur d’un groupe de prière nommé Caritas, en se référant à une lettre qu’il a reçu du cardinal Ratzinger[56]. Il en reprend les termes concernant l’œuvre de Maria Valtorta : « qu’il soit clairement indiqué à partir de la première page que les visions et les dictées auxquelles on se réfère ne sont que les formes littéraires utilisées par l'auteur pour narrer à sa façon la vie de Jésus. Elles ne peuvent être considérées comme d'origine surnaturelle. » Il mentionne les fondements de cette conclusion invoqués par le Saint-Siège , c’est-à-dire les notes publiées par l’Osservatore romano et la demande transmise à l’éditeur par la conférence épiscopale italienne. Il s’agit donc de la confirmation d’éléments connus[57].   

Le 23 avril 1996, le père Giandomenico Mucci, répond au nom du directeur de La Civiltà Cattolica à un lecteur s’interrogeant sur la mise à l’Index de Maria Valtorta : L’Index n’a plus de valeur juridique dans l’Église. Il signale une orientation mais c’est à la conscience de décider. Dans le cas du lecteur, il juge évident que la lecture de Maria Valtorta ne constitue pas un danger pour sa foi, mais au contraire, la fortifie[58]. La Civiltà Cattolica est considérée comme une revue semi-officielle du Saint-Siège. 

En 1999, le Père Yannik Bonnet, alors en formation à Rome, affirme dans un entretien donné ultérieurement à Radio Notre-Dame[59], que le cardinal Stanislas Dziwiz, secrétaire de Jean-Paul II lui avait certifié avoir vu plusieurs fois les œuvres de Maria Valtorta sur la table de chevet du Souverain Pontife.       

Le 24 juin 2001, Mgr Roman Danylak, devenu entretemps administrateur apostolique de l’Église grecque-catholique ukrainienne pour l’est canadien[60], atteste de la parfaite conformité de l'œuvre avec « les Évangiles canoniques, la Tradition et le Magistère de l’Église catholique [61]».       

Le 13 février 2002, il encourage officiellement la consultation d’un site d’un moine catholique qui publie l’œuvre de Maria Valtorta et réaffirme la conformité de celle-ci à la foi catholique. À cette occasion, il mentionne que le cardinal Ratzinger « en lettres privées, a reconnu que ce travail est exempt d'erreurs de doctrine ou de morale », mais il ne précise pas ces sources privées
[62].   

Le 27 avril 2007, les évêques chinois, en préparation d’un synode sur La Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Église
[63], formulent le vœu que les œuvres de Maria Valtorta puissent continuer à être traduites dans leur langue pour aider le peuple de Dieu à apprécier le message évangélique[64].         

Le 21 avril 2012 à N.D. de Guadalupe à Mexico, le cardinal Angelo Amato, Préfet de la Congrégation pour les causes des Saints, représentant le pape Benoît XVI, béatifie Mère
María Inés Teresa Arias Espinosa qui se disait « friande » de l’œuvre de Maria Valtorta[65]. Le 19 juillet 2001, une religieuse de sa congrégation, sœur Maria Uranga, confirme à l’éditeur que leur fondatrice avait fait distribuer l’œuvre de Maria Valtorta dans chacune des 35 maisons qu’elle avait fondé, « parce qu’elle l’aimait beaucoup ». Elle l’avait aussi distribué à des prêtres et à des évêques.[66]   

Le 29 septembre 2012 à Acireale en Sicile, le cardinal Angelo Amato, toujours au nom du pape Benoît XVI, béatifie le Père Gabriele Allegra, traducteur de la Bible en chinois. Il avait écrit dans son journal à la date du 26 août 1968 : « Dons de la nature et dons mystiques harmonieusement conjugués expliquent ce chef d’œuvre de la littérature religieuse italienne et, devrait-on dire, de la littérature chrétienne mondiale. » [67]

Le 3 janvier 2015, Mgr Leo Maasburg, directeur national des Œuvres Pontificales Missionnaires en Autriche et confesseur de Mère Teresa pendant 4 ans publie une attestation selon laquelle Mère Teresa de Calcutta emmenait l’œuvre de Maria Valtorta dans ses déplacements. À la question du Père Maasburg, elle avait répondu : « lisez la »[68].

 

Selon l'éditeur [haut de page]

En 1985, Emilio Pisani, fils de Michele Pisani, premier éditeur de Maria Valtorta, crée une société privée ad hoc, le Centro Editoriale Valtortiano (CEV). Les statuts du CEV indiquent que la société a pour « vocation spécifique et prioritaire de développer, documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de ses écrits, de ses idéaux, au moyen de l'impression et de la vente de ses œuvres littéraires »[69].   

Depuis cette époque, la société éditrice de sept salariés ne vit que d’un seul auteur et des publications s’y rapportant. Mais en 2010, l’activité a été scindée en société éditrice marchande d’une part, et d’autre part en une fondation de droit italien exclusivement consacrée au développement du patrimoine intellectuel issu de Maria Valtorta[70].           

Dans ce cadre, le CEV, puis la Fondazione ont réuni les déclarations, textes, articles, lettres provenant de différentes sources, en faveur ou en défaveur de l’œuvre de Maria Valtorta et les ont publiés principalement dans Pro e contro Maria Valtorta, déjà cité.     

Il y font état du soutien de plusieurs ecclésiastiques de haut rang à l’œuvre de Maria Valtorta, avant et après sa mise à l'Index.   

Les soutiens antérieurs à la mise à l’Index, sont attestés par l’Osservatore romano du 6 janvier 1960. Dans l’article commentant cette condamnation, il mentionne qu’elle a eu lieu « malgré les personnalités illustres (dont l'incontestable bonne foi a été surprise) qui ont apporté leur appui à la publication[71] ». Parmi ces personnalités qui, le 29 janvier 1952, joignirent leur soutien écrit à une supplique à Pie XII[72], on trouve notamment :    

- Mgr Alfonso Carinci[73], secrétaire de la Congrégation pour les Rites sacrés en charge notamment de la cause des saints. Il est le signataire de la supplique. Dans l’attestation qu’il joint, il déclare, après avoir longuement étayé son jugement, vouloir remercier le Seigneur « de nous avoir donné par l'intermédiaire de cette femme qui a tant souffert, qui est clouée au lit, une œuvre littérairement sublime, doctrinalement et spirituellement si élevée[74] ». Il entretint par la suite une correspondance suivie avec Maria Valtorta de 1949 à 1955[75].      

- Le Père Augustin Bea, alors directeur de l'Institut Biblique Pontifical et confesseur de Pie XII. Dans son attestation[76], il déclare avoir lu plusieurs fascicules de l'ouvrage écrit par Maria Valtorta. Il qualifie cette lecture « d’édifiante ». Il s’est attaché « plus particulièrement aux domaines exégétique, historique, archéologique et topographique. Pour ce qui est de son exégèse, je n'ai pas trouvé d'erreurs importantes dans les fascicules que j'ai examinés. En outre, j'ai été très impressionné par le fait que ses descriptions archéologiques et topographiques sont faites avec une exactitude remarquable. ». À l’époque de la mise à l’Index, c’était un cardinal particulièrement impliqué dans la préparation du concile.     

- Maître Camillo Corsanego[77], diplômé de droit canon et Doyen des conseillers consistoriaux, chargés de l’instruction des causes de béatification et de canonisation. Il est le seul laïc à avoir assisté, à ce titre, aux séances inaugurales du concile Vatican II. Dans son attestation de janvier 1952, il assure avoir lu beaucoup d’ouvrages « apologétiques, hagiographiques, théologiques et d’exégèse biblique ; mais je n'ai jamais trouvé un ensemble de science, d'art, de piété et d'adhésion aux enseignements traditionnels de l'Église comme dans l’Œuvre de Maria Valtorta traitant des Évangiles ». Le 8 avril 1957, dans un mot accompagnant l’envoi des œuvres de Maria Valtorta à un ami, il les qualifie de « destinées à laisser leur marque dans l’histoire du christianisme »[78]    

- Mgr Maurizio Raffa (1906-1957), directeur du Centre romain de comparaison et de synthèse qu’il avait fondé en 1940. Le 30 janvier 1948, il est nommé membre de ce qui devient l’année suivante le Conseil pontifical pour les communications sociales[79]. Dans son attestation du 25 janvier 1952, il note que « pour écrire une seule partie de l'œuvre (de Maria Valtorta), il faudrait être un auteur - qui n’existe pas aujourd’hui - tout à la fois grand poète, bibliste talentueux, théologien confirmé, expert en archéologie et en topographie, et profond connaisseur de la psychologie humaine ». Par lettre du 22 juin 2009, le Mémorial de Yad Vashem a informé sa nièce qu’il était retenu au titre de « juste parmi les nations »[80].         

La supplique ne parvint jamais à Pie XII et fut interceptée par le Saint-Office, ce qui explique que l’article de l’Osservatore romano, commentant la mise à l’Index, puisse s’y référer.       

Le 6 juin 1986, Mgr George Hamilton Pearce[81], archevêque métropolitain des Fidji et Père conciliaire, écrit à l’éditeur que l’auteur de l’œuvre de Maria Valtorta « ne peut être autre que l’Esprit Saint de Dieu »[82].          

Le 23 mars 2017, à l’occasion de la sortie de la nouvelle traduction française de l’évangile tel qu’il m’a été révélé, l’éditeur a fait le point sur la diffusion de l’œuvre, 60 ans après la première publication. Selon lui, 4 millions de volumes auraient été écoulés dans le monde. L’œuvre serait traduite en 27 langues[83].

Selon les travaux publiés en français [haut de page]

Le père G.M. Roschini, fondateur de l’université pontificale mariale Marianum, conclut ainsi son étude des écrits de Maria Valtorta : « qui veut connaître la Sainte Vierge (une Vierge en parfaite harmonie avec le magistère ecclésiastique, en particulier avec le concile Vatican II, les Saintes Écritures et la Tradition de l’Église) se doit de puiser à la mariologie valtortienne ![84] »          

Mgr René Laurentin, prélat de Benoît XVI, conclut son étude comparative sur La vie de la Vierge Marie d’après les révélations des mystiques : « Maria Valtorta émerge et se recommande à bien des titres […] Sa vie de longue souffrance, vécue dans un abandon total à Dieu, témoigne de sa sainteté. Elle ne s'éloigne en rien de l'Evangile, ne le contredit nulle part, n'y ajoute pas des enseignements étrangers et reste conforme à l'esprit de l'Évangile. […] Elle a recueilli les plus larges ralliements au sommet dont celui de Pie XII qui l'a protégé discrètement du Saint-Office[85] »          

Pour Jean Aulagnier, polytechnicien, la chronologie des 1.200 jours environ de la vie publique de Jésus « au jour le jour », qu’il reconstitue méthodiquement au terme de cinq ans d’études, à partir des écrits de Maria Valtorta, ne peut humainement s’expliquer. L’abondance des données comprises dans ses visions exclut de même un simple hasard[86].    

Les auteurs du Dictionnaire des personnages de l’Évangile selon Maria Valtorta, s’interrogent : « D'où lui viennent ces connaissances ? À la différence des autres voyantes que nous avons examinées, le récit de Maria Valtorta semble confirmer qu'elle avait une réelle vision de la vie du Christ il y a deux mille ans. Ces convergences entre ses récits – apparemment les plus gratuits – et la réalité historique, géographique, sociologique, zoologique, botanique, chronologique, posent la question : Comment Maria Valtorta, sans culture, diplômes, érudition, retrouve-t-elle les données les plus cachées d'il y a deux millénaires ? Cela ne parait pas explicable par le hasard.[87] »         

Pour Jean-Marcel Gaudreault, « Quant à l’authenticité de l’œuvre (de Maria Valtorta), les points qui militent en sa faveur sont si nombreux que même les plus sceptiques auraient de la difficulté à monter un arsenal le moindrement crédible pour les contrer d’une manière raisonnable.[88] »   

Jean-François Lavère, ingénieur, présentant le deuxième tome de L’Énigme Valtorta, souligne : « Ayant mené personnellement cette étude quotidiennement depuis près de vingt années, elle m'a bien souvent conduit à examiner les différentes théories échafaudées au cours des siècles par les générations successives d'érudits. […] Ma surprise fut immense, en constatant qu'en de multiples occasions, le texte transmis par Maria Valtorta éclairait de façon harmonieuse et fort logique un grand nombre de ces sujets d'interrogations ou de controverses. […] Dans le premier tome de l'Énigme Valtorta, je me suis efforcé de montrer que loin d'être une simple fiction romanesque comme ont été tentés de le faire croire certains, l'œuvre de Maria Valtorta comporte au contraire de très nombreuses informations vérifiables et véridiques qui la rendent globalement à la fois cohérente et crédible. Mon propos est maintenant d'examiner dans quelle mesure cette œuvre s'insère harmonieusement dans les Écritures et la Tradition.[89] »         

Pour François-Michel Debroise, « Ces publications sont le début d’une longue liste de travaux à venir, fondateurs d’une nouvelle exégèse scientifique, tant les premières découvertes sont prometteuses. La convergence des recherches qui se font de par le monde amplifiera les résultats. Maria Valtorta n’avait aucuns moyens d’acquérir la vaste érudition dont elle fait preuve.[90] »

 

Bibliographie [haut de page]

Œuvres de Maria Valtorta [haut de page]

Ne sont indiqués que les œuvres disponibles en français. D’autres écrits demeurent  inédits ou disponibles en italien.     

* L'Évangile tel qu'il m'a été révélé - 10 tomes – 4.856 pages – traduction française de 1979 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – de ISBN 88-7987-051-3 à ISBN 88-7987-060-2.         

* L'Évangile tel qu'il m'a été révélé - 10 tomes – 5.374 pages – traduction française de 2017 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – de ISBN 88-7987-263-8 à ISBN 88-7987-272-0 - Édition entièrement retraduite et augmentée de 500 pages.        

* Autobiographie – 505 pages - 1993 - - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-011-4. Autobiographie écrite à la demande de son confesseur, de février à avril 1943. Elle ne fut publiée qu’après sa mort.

* Leçons sur l'Epître de saint Paul aux Romains – 2001 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-069-6. Commentaires de Jésus qu'aurait reçus Maria Valtorta : la Création, la Grâce, la venue du Royaume de Dieu, la justice et de la miséricorde de Dieu.          

* Le livre d'Azarias – 2002 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-094-7. Ce livre aurait été dicté en 1946 et 1947 à Maria Valtorta par Azarias, son ange gardien. Il comporte un commentaire théologique et spirituel des messes festives du missel romain.         

* Les Cahiers de 1943 – 2002 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-091-2. Dictées qu'aurait reçues Maria Valtorta sur divers sujets d'ascèse, d'exégèse, de doctrine, incluant des descriptions des scènes évangéliques et du martyre des premiers chrétiens.    

* Les Cahiers de 1944 - 2003 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-099-8. Suite du précédent. 

* Les Cahiers de 1945 à 1950 – 2004 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-128-5. Suite et fin des précédents avec, au final, un commentaire de l’Apocalypse.

 

Publications sur Maria Valtorta [haut de page]

Thèses universitaires

* (it) L'Assunta alla luce della protologia e dell'escatologia nelle opere di Maria Valtorta - Alfredo Sturli – 1988 - Université pontificale de théologie, Marianum, Rome.       

* (it) La mistica femminile in étà contemporanea. La vicenda e gli scritti di Maria Valtorta - Gianna Galzignato – 1993 - Faculté de lettres et de philosophie, Padoue.         

* (it) Valenza formativa del dolore in Maria Valtorta - Tiziana Ferrari – 2005 - Faculté de lettres et de philosophie de Cassino, Frosinone.   

* (es) La immolacion como la clave de comprension y el nexo de union entre teologie y vida mistica en las obras de Maria Valtorta - Rubén Pineda Esteban – 2010 - Faculté de théologie, Burgos.

Autres travaux

Ne sont indiqués que les œuvres disponibles en français.

* La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta – P. Gabriel M. Roschini O.S.M. – 1973 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano  - ISBN 2-920285-01-7. Analyse par un mariologue reconnu, fondateur de la faculté pontificale de théologie "Marianum" de Rome.         

* Maria Valtorta, qui es-tu ? - Jean Aulagnier - 1992 - Éditions Résiac – ISBN 2-85268-219-2. Les raisons qui poussent l'auteur à croire dans l'œuvre de Maria Valtorta. Annexes sur Marie d'Ágreda et Anne-Catherine Emmerich.          

* Avec Jésus au jour le jour – Jean Aulagnier – 1994 – Éditions Résiac – ISBN 2-85268-253-2. Reconstitution pas-à-pas, à la lueur des données de calendrier, de l'agenda de Jésus dans l'œuvre de Maria Valtorta.        

* Padre Pio et Maria Valtorta - Emilio Pisani – 2000 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-073-4. Courte biographie de Padre Pio en liaison avec la vie de Maria Valtorta et tout ce qui les réunit.  

* Valtorta et Ferri – recueil de 447 illustrations couleurs ou bichromie - 2006 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-134-X - Lorenzo Ferri (1902-1975), peintre et sculpteur était un spécialiste de l'art sacré et du Saint Suaire. Il a travaillé avec Maria Valtorta sur ces illustrations, mais toutes n'ont pas pu être validées par elle.          

* La vie de la Vierge Marie d'après les révélations des mystiques, que faut-il en penser ? - René Laurentin / François-Michel Debroise – 2011 – Editions Plon / Presses de la renaissance – ISBN 978-2-7509-0653-5. Étude comparative des révélations de huit mystiques dont Marie d’Ágreda, A.C. Emmerich et Maria Valtorta. 

* L´énigme Valtorta - Jean-François Lavère - 2012 - Éditions Rassemblement à Son Image – ISBN 978-2-36463-025-3 - Bilan de dix ans de recherches, cette étude révèle l’immense érudition contenue dans l’évangile tel qu’il m’a été révélé de Maria Valtorta.    

* Dictionnaire des personnages de l'Évangile selon Maria Valtorta - René Laurentin / François-Michel Debroise / Jean-François Lavère - 2012 - Éditions Salvator – ISBN 978-2-7067-0961-6 - Ce dictionnaire confronte les descriptifs des 750 personnages des écrits de la mystique Maria Valtorta aux données de l'Évangile et aux connaissances historiques les concernant. 

* Les lois de l’univers divin – Jean-Marcel Gaudreault – 2013 - Éditions Lumières nouvelles – ISBN 978-2-9813500-0-8. La théorie évolutionniste passée à la critique des données scientifiques et des écrits spirituels dont ceux de Maria Valtorta.           

* Saint Martial, apôtre des Gaules et de l’Aquitaine – David Gasseling – 2013 - Éditions Rassemblement à Son Image – ISBN|978-2-36463-107-6. La vie de saint Martial d’après les visions de Maria Valtorta et les traditions limousines.   

* L´énigme Valtorta vol 2 - Jean-François Lavère - 2014 - Éditions Rassemblement à Son Image – ISBN|978-2-36463-186-1. L’auteur démontre que les fondements exégétiques des visions de Maria Valtorta restaurent scientifiquement "la simplicité évangélique" de l'Évangile. 

* La Vierge des derniers temps - René Laurentin / François-Michel Debroise - 2014 - Éditions Salvator – ISBN 978 2 7067 11510 - La Vierge des derniers temps prophétisée par Grignion de Montfort (1673-1716), annonce le siècle de Marie. Ce sera le prélude, selon lui, à un déluge du pur amour. Cette nouvelle pentecôte assurera le règne du Christ dans le cœur de tous les croyants et verra se lever les apôtres des derniers temps. Maria Valtorta actualise ces prédictions.     

* Maria Valtorta et l'Eglise - François-Michel Debroise - 2015 - Éditions Rassemblement à Son Image – ISBN 978-2-36463-071-0. Quelle attitude avoir envers les visions et dictées de Maria Valtorta ? 

* Maria Valtorta, visionnaire et mystique pour notre temps - François-Michel Debroise - 2016 - Éditions Maria Valtorta – ISBN 978-2-36463-459-6. Historique de l’œuvre de Maria Valtorta, sa valeur théologique, exégétique, mystique et prophétique. Les mérites de Maria Valtorta.    

* Dictionnaire géographique de l'Évangile d'après Maria Valtorta - Jean-François Lavère - 2017 - Éditions Maria Valtorta – ISBN 978-2-36463-511-1. Notices de  220 villages, 50 édifices antiques et de 110 sites géographiques décrits dans l’œuvre de Maria Valtorta comparés aux données historiques, géographiques, archéologiques et topographiques.

 

Liens externes [haut de page]

·        Site officiel du CEV [archive]

·        Fondazione Maria Valtorta CEV [archive]

·        Fondazione Maria Valtorta (Viareggio) [archive]

·        Association Maria Valtorta [archive]

 

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Fiche mise à jour le 14/02/2018.

 



[1] Notice biographique en italien sur le site des Servites de Marie

[2] Attestation sous serment, en italien, du père Berti, "Exposizione", point 3 : « Pubblicate quest’opera, cosi come sta ; chi legge caprirà ».

[3] Fac-similé de la mise à l’Index, publiée dans les Actes du Saint-Siège, volume 52, 1960, page 60.

[4] Citation littérale : che, in un' eventuale ristampa dei volumi, si dica con chiarezza fin dalle prime pagine che le "visioni" e i "dettati" in es si riferiti non possono essere ritenuti di origine soprannaturale, ma devono essere considerati semplicemente forme letterarie di cui si è servita l'Autrice per narrare, a suo modo, la vita di Gesù. Pro e contro Maria Valtorta, 2017 - centro editoriale valtortiano – ISBN 978-88-7987-295-9, page 279.

[5] Interview du 19 mai 2017 par Maxime Dalle, émission "Ecclésia" Voir aussi la préface de Mgr. Johanan-Mariam de Cazenave, L’énigme Valtorta, une vie de Jésus romancée ?, page 16, cité en bibliographie.

[6] Fac-similé en anglais, sur lien externe, de l’attestation de Mgr Leo Maasburg.

[7] Autobiographie, cité en bibliographie, page 220.

[8] La vierge Marie dans l’œuvre de Maria Valtorta, cité en bibliographie, page 21.

[9] Ibid, page 22.

[10] Les cahiers de 1943, dictée du 23 août, page 256. La première publication, désormais introuvable, ne portait pas de nom d'auteur, conformément au vœu de Maria Valtorta.

[11] Présentation de l’Ordre séculier des Servites de Marie sur leur site.

[12] Tombe de Maria Valtorta dans la chapelle du Chapitre du Grand-cloître.

[13] Bulletin, en italien, des Servites de la SS. Annunziata, novembre/décembre 2011, p. 6 et 7.

[14] Curriculum vitae en anglais sur Catholic Hierarchy.

[15] Voir la notice 21 des "Servi de Dio e Venerabili" sur le Site des Servites de Marie, en italien.

[16] Site de la Congrégation des causes des saints, "Sanctorum Mater", Instruction pour le déroulement des enquêtes diocésaines ou éparchiales regardant les causes des saints, 17 mai 2007, titre 2, article 4, § 2.

[17] ''L'Évangile tel qu'il m'a été révélé'' – traduction française de 1985 – Tome 1, page 9. Cité en bibliographie. Voir aussi le cahier original numérisé sur lien externe.

[18] Ibid, Préface de l'éditeur, page 10.

[19] Autobiographie, cité en bibliographie, page 9.

[20] « Si vous saviez quel esclavage c’est que d’être instrument de Dieu […] Cela entraîne sommeil, faim, souffrances, fatigues, envie de penser à autre chose, de lire des écrits qui ne soient pas des paroles de source surnaturelle, de parler et d’entendre des choses ordinaires, l’envie d’être et de vivre comme tout le monde, ne serait-ce qu’un seul jour : tout cela, la brûlure inexorable de la volonté de Dieu les empêche de l’avoir et de le réaliser. Sur tout cela, la hargne des hommes dépose son sel et son acide, comme si le maître de la galère mettait du sel et du vinaigre sur les brûlures de ses esclaves. », Les cahiers de 1944, dictée du 24 septembre, page 565 - CEV - (ISBN 88-7987-099-8).

[21] L'Évangile tel qu'il m'a été révélé – traduction française de 1985, cité en bibliographie,  Préface de l'éditeur, page 9.

[22] Ibid, page 7

[23] Ib - Tome 2, Chapitre 21, page 102.

[24] Notice biographique en italien sur le site des Servites de Marie.

[25] Notice biographique en italien sur le site des Servites de Marie.

[26] Notice biographique en italien sur le site des Servites de Marie

[27] Voir l'article de L'Osservatore Romano de janvier 1960, en italien et en français.

[28] Actes officiels sur le site du Vatican.

[29] Attestation sous serment, en italien, du père Berti, Exposizione, point 4.

[30] Padre Pio, le saint François du XXe siècle, Luigi Peroni, 1999, éditions saint-augustin, pages 138/ 139, (ISBN 2-88011-151-X).

[31] Selon lui, il n’eut pas le droit de parler, de même il ne reçut aucun double de la sentence dont le contenu et les motivations demeurent, à ce jour, totalement inconnus, comme la date exacte de son émission. D’autre part l’auteure, Maria Valtorta, ne reçut aucune information écrite, ni à cette occasion, ni à celle de la mise à l’Index. Référence : code de Droit Canon de 1917, article 1393 § 4.

[32] Attestation sous serment, en italien, du père Berti, "Exposizione", point 3 : « Pubblicate quest’opera, cosi come sta ; chi legge caprirà ».

[33] Citation en anglais d’une lettre du 31 octobre 1987 au "Maria Valtorta Research Center", Sherbrooke, Québec, Canada. Paru dans "The Valtorta Newsletter" No. 6, hiver 1992. Rubrique : Ecclesiastical Approbations.

[34] Dictionnaire des personnages de l’Évangile selon Maria Valtorta, p. 11. Cité en Bibliographie.

[35] Voir l'article de L'Osservatore Romano de janvier 1960, en italien et en français.

[36] Ibid.

[37] La mise à l’Index se réfère au canon 1385, article 1, alinéa 2 du code de droit canonique de 1917, en usage à l’époque.

[38] Fac-similé de l’article du 1er décembre 1961, page de couverture. L’extension s’appuie sur [les canons 1398 § 2 et 1399, alinéa 5 du code de droit canonique de 1917, en usage à l’époque.

[39] Sur wikipedia Osservatore romano, relation avec le Magistère.

[40] Notification sur la suppression de l’Index des livres interdits, cardinal Alfredo Ottaviani, sur le site du Vatican.

[41] Décret concernant les canons 1399 et 2318 de la notification du 14 juin 1966, cardinal Alfredo Ottaviani, sur le site du Vatican.

[42] Notice biographique en italien sur le site des Servites de Marie.

[43] Cité en bibliographie.

[44] Fac-similé, en italien, de la lettre de la Secrétairerie d’État au Père Roschini.

[45] Décret au sujet de la vigilance des pasteurs de l’Église, cardinal Franjo Šeper, sur le site du Vatican.

[46]  Mgr Ottavio Michelini, Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles, Éditions du Parvis, ISBN 9782880220228

[47] Voir le fac-similé de la lettre originale.

[48] « L'Index conserva tutto il suo valore morale per cui non si ritiene opportuna la diffusione o raccomandazione di un'Opera la cui condanna non fu presa alla leggera ma dopo ponderate motivazioni al fine di neutralizzare i danni che tale pubblicazione puo arrecare ai fedeli più sprovveduti. »

[49] Fac-similé des lettres en anglais : Mgr. Benedict Gregorios - Mgr. Eric Benjamin - Mgr. Valerian D’Souza - Mgr. Maria Soosa Pakiam - cardinal Anthony Padiyara              
et en malayam (traduction anglaise en bas de page) : Mgr. Joseph Kundukulam - Mgr. Joseph Kureethara.

[50] Biographie de Mgr Dionigi Tettamanzi sur Wikipédia, en italien.

[51] >"Pro e contro Maria Valtorta", 2017 - centro editoriale valtortiano - {{ISBN|978-88-7987-295-9}}, "La lettera di Mons. Tettamanzi e la nuova posizione della Chiesa", page 279.

[52] "Maria Valtorta et l'Eglise", cité en bibliographie, pages  23 et 24.

[53] Pascendi Dominici Gregis, (Paître le troupeau), Pie X, 8 septembre 1907, § 75, sur le site du Vatican.

[54] In Defense of The Poem sur le site de Roman Danylak.

[55] Catéchisme de l’Église catholique, § 67, sur le site du Vatican.

[56] Il en donne la référence et la date « (Prot.N. 144/58 i, datée du 17 avril 1993) ».

[57] Texte de la lettre en anglais.

[58] Fac-similé de la lettre en italien.

[59] Interview du 19 mai 2017 par Maxime Dalle, émission "Ecclésia" Voir aussi la préface de Mgr. Johanan-Mariam de Cazenave, L’énigme Valtorta, une vie de Jésus romancée ?, p. 16, cité en bibliographie.

[60] Curriculum-vitae en anglais sur Catholic Hierarchy.

[61] Fac-similé en anglais de l’attestation de Roman Danylak.

[62] Imprimatur et Nihil obstat en anglais du site de Frère Chrysostome.

[63] La Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Église, Lineamenta, sur le site du Vatican.

[64] Document en chinois sur le site du Vatican, voir la note n° 9.

[65] « Io sono molto affezionata », "Bollettino Valtortiano", n° 83, janvier-juin 2012, page 4.

[66] Ibid.

[67] Fac-similé en italien de la note manuscrite reproduite dans Pro e contro Maria Valtorta, Gli attesti di Padre Allegra, page 148.

[68] Fac-similé en anglais, sur lien externe, de l’attestation de Mgr Leo Maasburg.

[69] Voir le Site officiel du Centro editoriale valtortiano.

[70] Fondazione Maria Valtorta cev onlus. Voir le site de la Fondazione

[71] Citation littérale : nonostante che illustri personalitá (la cui indubbia buona fede è stata sorpresa) abbiano dato il loro appoggio alla pubblicazione.

[72] Fac-similé en italien, de la supplique à Pie XII. Reproduit dans Pro e contro Maria Valtorta, CEV 2017, 7ème édition, page 94.

[73] Curriculum-vitae en anglais sur Catholic Hierarchy.

[74] Lettre du 17 janvier 1952, reproduite intégralement en italien dans "Pro e contro Maria Valtorta", CEV, 2017, 7ème édition, page 72.

[75] Lettere a Mons. Carinci, CEV 2006, ISBN 978-88-7987-140.

[76] Fac-similé en italien, de l’attestation du 23 janvier 1952, reproduite dans  "Pro e contro Maria Valtorta", CEV, 2017, 7ème édition, page 67.

[77] Biographie en italien sur Wikipédia.

[78] Fac-similé en italien, du mot manuscrit de Camillo Corsanego. Publié dans "Pro e contro Maria Valtorta", CEV, 2017, 7ème édition, pages 74-79.

[79] Note historique et profil du Conseil pontifical pour les communications sociales, sur le site du Vatican.

[80] Fac-similé en anglais de la lettre du Yad Vashem à sa nièce.

[81] Curriculum-vitae en anglais sur Catholic Hierarchy.

[82] Extrait dans "Pro e contro Maria Valtorta", CEV, 2017, 7ème édition, p. 290 et autres extraits en anglais.

[83] Intervention de Daniele Fiorletta du Centro editoriale valtortiano sur lien externe.

[84] La Vierge Marie dans l’œuvre de Maria Valtorta, cité en bibliographie, page 8.

[85] Chrétiens Magazine, n°218 du 15 mars 2009, numéro spécial Maria Valtorta, page 7. Voir le fac-similé

[86] Avec Jésus au jour le jour, cité en bibliographie, pages 10 et 11. « (Si) malgré la complexité des filtres de contrôle, inclus dans ma méthode d'analyse, la reconstitution, jour par jour et correctement datée, est réalisable, (alors) l'«œuvre» de Maria Valtorta ne peut s'expliquer que par une intervention divine, et mérite-t-elle bien alors l'attention fondamentale que lui accordent aujourd'hui, à priori, de nombreux chrétiens. »

[87] Ouvrage cité en bibliographie, page 22.

[88] Les Lois de l’Univers divin, cité en bibliographie, page 64.

[89] L’Énigme Valtorta, tome 2, cité en bibliographie, pages 16 et 17.

[90] Maria Valtorta, visionnaire et mystique pour notre temps, cité en bibliographie, page 22.