"L'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
de Maria Valtorta

© Centro Editoriale Valtortiano



aucun accent

Se repérer

Consulter la Bible en ligne

Aller sur le forum

Qui sommes-nous

Accueil >> Sommaire du Site >> Index des ressources >>

 

Livres Deutérocanoniques


Les Livres Apocryphes (dénomination de la tradition protestante) ou Deutérocanoniques (dénomination de la tradition catholique) sont absents de la Bible Hébraïque, la première référence, mais présents dans la Bible des Septante, celle contemporaine du Christ : deux saints influèrent leur statut : saint Jérôme, le premier traducteur de la Bible qui était partisan de les séparer du canon des Écritures et saint Augustin qui était partisan de les inclure. La tradition réformée et anglicane tient du premier et la tradition catholique et orthodoxe du second. Position officialisée par le Concile de Trente (1546).

Ces livres sont : Tobie - Judith - Esther version grecque - Sagesse (de Salomon) - Siracide (Écclésiastique) - Baruch - Daniel version grecque : (Azarias -  Suzanne - Bel) - Maccabées 1 et 2. Dans les écrits de Maria Valtorta Jésus y fait largement référence pour son enseignement sans distinction de statut.

 


 Livre de Tobie
Haut de page

Ce livre est anonyme, mais on le date généralement de 200 avant J.C. Il est cité plusieurs fois dans l'œuvre de Maria Valtorta, notamment lors de la Dormition de la Vierge Marie (10.35) à cause de l'hymne qui la concerne (Tobie 13, 1-18).

 Livre de Judith
Haut de page

 

 Esther
Haut de page

Ce livre est un opuscule liturgique destiné aux synagogues de la Diaspora.

 Sagesse
Haut de page

C'est l'un des cinq Livres sapientiaux. Dans la Septante, il porte le nom de "Sagesse de Salomon". Salomon n'est ici qu'une fiction littéraire, mais l'auteur est manifestement d'un grand niveau. On donne ce Livre écrit vers l'an 50 avant JC par un juif d'Alexandrie, un des plus grands centres intellectuels de l'époque où vivaient plusieurs centaines de mille de juifs.

 Siracide ou Écclésiastique
Haut de page

L'auteur de ce livre, Iéshoua' Ben Sirac, a mis ses réflexions par écrit à Jérusalem peu après que les Séleucides eurent étendu leur domination jusqu'à la Judée, vers 180 avant J.C. L'œuvre est rédigée en hébreu alors qu'à l'époque on utilisait l'araméen. Figurant parmi les livres sapientiaux, son style ressemble à celui des Proverbes.

Au moment de sa Dormition (10.35), Marie fait lire à Jean, le passage qui la concerne (24,11-34)

 Le livre de Baruch
Haut de page

Ce livre, écrit en hébreu, ne nous est parvenu que dans une traduction grecque. La valeur historique et religieuse de ce livre réside dans l'excellent témoignage qu'il rend de l'âme d'Israël en exil. Il met en lumière plusieurs traits de ce peuple passionnément attaché à sa glorieuse histoire et redevenu, dans son malheur, fidèle au Dieu qui l'avait choisi. Dans ce livre, Israël, brisé et repentant, trouve les mots que rediront toujours les peuples écrasés.

 Le livre d'Azarias (Daniel grec)
Haut de page

 

 Suzanne (Daniel grec)
Haut de page

 

 Bel
Haut de page

 

 Premier livre des Maccabées
Haut de page

Le titre original n'est pas connu. Dans la plupart des Bibles on appelle "Maccabées" les deux livres du surnom de Judas : Maqabi, marteau ou martel. André Chouraqui note que l'histoire racontée dépasse celle de Judas, il nomme donc ce livre "Asmonéens" (Hashmonaïms), du nom de la dynastie.

L'auteur des livres des Maccabées, datés de -124 avant J.C., est inconnu. Écrits en hébreu, on ne connaît que la version grecques des Septante. Dans ce livre, on les trouve à la fin des livres historiques, après Esther, Judith et Tobie.

 Deuxième livre des Maccabées
Haut de page

Plutôt qu'une chronique, ce second livre est un opuscule liturgique destiné aux synagogues de la Diaspora. Un des thèmes majeurs est celui de la résurrection des morts, notamment avec le récit du martyre du sage Éléazar puis celui de la mère et de ses sept fils lors de la persécution Antiochus Épiphane.

Le récit est parallèle aux évènements du premier livre des Maccabées et non succédant, comme sont titre pourrait le laisser penser.

L'auteur signale qu'il ne fait que résumer un ouvrage en cinq volumes d'un certain Jason de Cyrène. Cela explique le côté un peu disparate du récit.

Haut de pageNous contacter